Antoine Brellmann Né en 1970 dans la vallée de Kaysersberg, depuis son enfance, Antoine s’amuse à peindre ses jouets et à fabriquer des soldats de plomb.il tire son inspiration de la nature qui l’entoure.Il aime voyager afin d ‘approfondir ses Après être passé par les Beaux Arts de Strasbourg en 1998, il n’hésite pas à se former lui même,cherchant toujours à mettre son art en mouvement.C’ est ainsi qu’il va jusqu’à New York pour développer de nouvelles séries sur le thème des plaques d’égouts.La culture religieuse étant présente en Alsace,il Lui arrive de réaliser des expositions (évêché de Strasbourg) ou des fresque (église de Kingersheim). l’artiste cherche continuellement à se diversifier, en passant de la sculpture de bronze,aux aquarelles, aux fresques murales aux toiles, en utilisant diverses techniques…’cire d abeille, collage, peinture à l’huile… aquarelle… croquis en pleine nature…
Je créé des tableaux avec différentes techniques de pose de perles, de tubes, de paillettes et de points brodés. Les lignes géométriques m’inspire particulièrement. Le noir «Esprit Soulage» a été mon inspiration pour une série de tableau. J’aime également utilisé les anciens matériaux de la Broderie Or (cannetille et jaseron) pour une inspiration plus contemporaine, avec l’utilisation de cadre à peindre, le mélange des techniques textiles (cuir froissé) et des points traditionnels revisités (point de Mirliton). Mais mon objectif principal est la transmission de la Broderie d’Art et le suivi de projet personnel, en donnant des cours personnalisés dans mon Atelier à Mittelwihr.
Travail de l’artiste : Le sens, que Minarro cherche et propose, va d’un Trait. Il traverse sans aboutir, impulse sans répulser. C’est une ligne qui s’inscrit dans l’œil, dans le regard, une ligne qui, arrachée de son contexte, ne sert à rien mais suggère beaucoup lorsque le résultat interroge. Si les mots sont parfois inventés pour cacher se que l’on pense, la peinture, elle, réinvente la pensée que les mots ne savent expliquer. Surtout ne lui cherchez aucun paradis, le fruit se trouve en celui qui veut bien le prendre. Né le 21 juin 1955 à Saint-Eugène, près d’Alger, Guy Minarro est arrivé en France à l’âge de 7 ans. Installé à Colmar (Haut-Rhin), il a exploité plusieurs techniques avant d’opter pour l’abstraction. Peintre autodidacte, Guy Minarro a conservé de ses racines pieds-noires d’origines espagnoles une force de caractère qui se lit comme un livre ouvert à travers ses toiles. De ses périodes picturales successives, on retiendra la fin des années 1990 qui marque l’avènement de sa palette noire, qui l’a révélé à lui-même. L’artiste a toujours prouvé une forte indépendance picturale. Il a su créer sa propre technique, née de l’expression composée, de ses impressions décomposées Opacité et transparence; Ses toiles, monotypes sur cuivre, sur verre et gravures, oscillent entre continuité et rupture, opacité et transparence. Ses œuvres se présentent comme une révolte parfaitement maîtrisée, à telle enseigne qu’on peut aisément parler d’une peinture percutante, d’une peinture de mouvement, très gestuelle, verticale et physique. La toile s’offre là comme l’amplitude du bras pour un artiste qui s’épanouit dans les grands formats, les reliefs et glacis accentuent cette impression de mouvement. La palette, elle, reste méditerranéenne. Toujours associés aux noirs (sa couleur de prédilection), les jaune-orangé, brun-rouge et ocres qui se superposent apportent aux ténèbres l’incandescence qui fait basculer l’œuvre dans la lumière.
C’est en Allemagne que s’est révélée ma vision romantique de la peinture et de la vie. Je m’efforce depuis de l’appliquer dans mes tableaux à l’expression du Zeitgeist contemporain, travaillé de mouvements contraires, pris dans le flux des réseaux sociaux, des tragédies terroristes ou environnementales, de l’angoisse existentielle, mais aussi et en même temps des joies et des grâces quotidiennes. Cette ambition se décline en différentes thématiques : la fête comme succédané du religieux, la pression du divertissement, les événements politiques et sociaux marquants de notre temps, la crise d’identité européenne, le dérèglement climatique, la richesse et la difficulté des rapports humains.
Ma démarche artistique se partage entre la peinture et la sculpture. La trame de mon travail se construit à partir de nombreux croquis, esquisses et aquarelles que je fais lors de mes voyages, de mes observations. En peinture, j’affectionne surtout la peinture à l’huile, elle me permet de me rapprocher au mieux des transparences et des subtilités de l’aquarelle. En parallèle et en complément de la peinture, je me suis spécialisée en sculpture, technique du modelage. Mes sujets de prédilection sont le corps humain, les bustes, les expressions du visage. Ce sont des sculptures en faïence blanche, patinées. En complément de ces deux axes, peinture et sculpture, je fais des travaux d’illustration ainsi que de la céramique : trait d’union entre la peinture et la sculpture.
Bouder parfois la gravure et redécouvrir le viseur d’un Canon et son originalité.
Lidwine Lavergne est une illustratrice-céramiste installée à Strasbourg, et dont le travail est un savoureux mélange des univers manga, punk et arts premiers.
Graveuse, illustratrice et designer graphique freelance. Passionnée de gravure et de techniques d’impression traditionnelles. J’accorde un intérêt particulier aux matériaux et aux détails qui rendent chaque pièce unique. Diplômée d’un DNSEP (Diplôme National Supérieur d’Expression Plastique) en Communication Visuelle aux Beaux-Arts de Besançon depuis 2023.
Plasticienne, graphiste et illustratrice, je m’épannouis dans l’objet imprimé en faisant vivre mes illustrations sur différents supports.