Frédérique Stoltz

Je suis née et j’ai grandi à Colmar avec pour environnement familial une grand mère couturière et une mère passionnée d’art textile.

Après un Bac Littéraire avec option en Arts plastiques, c’est tout naturellement que j’ai poursuivi mes études universitaires dans ce domaine et obtenu une licence en Arts Plastiques à la faculté de Strasbourg.

Quelques années plus tard, j’ai également obtenu un Diplôme Universitaire en

Théologie. Je crée mon entreprise Mademoiselle d’Ange en 2007 et me dédie exclusivement à la création de bijoux textiles.

J’adhère à la Fédération des Métiers d’Art d’Alsace (FREMAA) en 2014.

Depuis 2019, ma pratique artistique se développe sous la forme de sculptures textiles (tableaux et objets).

Franziska Statkus

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Claudia Schmid

Ganz ähnlich wie beim Träumen verarbeite ich mit meinen Bildern Dinge, die im Unterbewussten stattfinden. So beginnt oft der Weg zu einem Bild mit einem “Doodle”das ich in ein Notizbuch gekritzelt habe. Diese dann weiterzuentwickeln, ohne dabei die Qualität dessen zu verlieren, was so unbewusst entstanden war, darin besteht für mich die Herausforderung.

Die Wesen in meinen Bildern erzählen etwas. Oft werde ich gefragt, ob sie Illustrationen für eine Geschichte sind. Nein, die Bilder selber sind die Geschichten, deshalb könnte man sagen, was ich mache ist narrative Kunst.

Die Einflüsse aus der frühen Kindheit prägen auch heute noch meine Zeichnungen: Comics, Cartoons, Basler Fasnacht, Kinderbücher und Tanz. Später, während einem 3 Jährigen Aufenthalt in Java, kamen noch die Indonesischen Schattenspiele dazu.

Für viele Jahre war der Rapidograph Stift mein bevorzugtes Zeichenutensil. Heute wird er nicht mehr hergestellt, was mit ein Grund war, meine Technik auszuweiten. Nun zeichne und male ich mit Tinte, Ölkreiden, Acrylfarben und Kohlestift.

In meinen Bildern finden sich Menschliche Tiere und “Tierliche” Menschen sowie Fabelwesen. Manchmal sind sie alleine, öfters finden sie einander. Was sich bei den Begegnungen abspielt ist mysteriös und kann verschieden interpretiert werden. Die Bilder können einen in eine spielerisch, absurde oder melancholisch und verträumte Welt ziehen.

Neben den Zeichnungen werde ich an den Ateliers Ouvertes auch Bücher, genähte Figuren, Postkarten und bemalte Objekte ausstellen.

Ejoo Seo

Garder les matériaux et les utiliser quand on en sent le besoin… Est-ce que cela ne ressemble pas au principe de la fermentation ? Laisser mûrir un certain temps et trouver le moment où ils sont le plus vivants… Peut-être que ce temps de fermentation les valorise. Le fait de dépasser leur usage primaire montre une grande énergie, au-delà du décoratif et de la pompe… De fait, la fermentation peut être considérée comme une étape dans le processus de création. Une étape où les choses progressent sans que l’artiste agisse. En ce sens, les phases de doutes sont le contraire : l’activité cérébrale de l’artiste est au maximum et le travail n’avance pas.

Marie Sahli

« J’investis dans mes travaux une part d’expérience personnelle où interviennent les relations à mon enfance, au voyage, à la double culture dont j’ai hérité,                          à l’interdiction d’expression liée à la femme, à l’histoire et à mon corps.

 

Mes œuvres cependant sont également pleines d’une réflexion liée au monde extérieur dont je suis la spectatrice. Je puise mes idées dans l’histoire de l’art, dans les médias et dans la vie de la société telle que je la perçois au quotidien. »

 

Patrick Straub

Patrick Straub est tombé amoureux du land art comme ça, sans raison, déraisonnablement. Dès lors, il se met à converser avec la Terre, sans arrêt. Il entend des « voies » qu’il suit à tâtons ! Il renifle le temps qui passe. Son travail est un cabinet de curiosités, un champ de bataille perdue par avance. Il fait tout et son contraire, le gigantesque et le minuscule ! Il se sert à l’autel du Monde ! Il emprunte le vent, le froid, la marée, la lumière. Parfois aussi, il verse dans le cliché pour partager l’amour qu’il reçoit. Alors ses cœurs de pierre et de glace se mettent à battre la chamade jusqu’à l’excès. Mais surtout, il raconte des histoires – drôles parfois ! Il dit des poèmes sans mots, il communique avec l’invisible et l’irrationnel. Les photographies et les vidéos de ses réalisations, seules traces pérennes, sont les pièces d’un puzzle chimérique dans lequel il se perd lui-même. Un jeu de dupe où se dessinent les contours d’une « mytho-logie » personnelle dans laquelle il se met parfois en scène.

Marie Sahli

En tant qu’artiste plasticienne diplômée d’une école d’art avec les félicitations du jury, mon atelier est un lieu de recherche et d’expérimentation. C’est là où je pousse les limites de mon art, où je teste de nouvelles techniques et où je joue avec de nouveaux matériaux. C’est un espace où je peux prendre des risques, faire des erreurs et apprendre de ces expériences. C’est aussi un lieu d’exposition. Les murs sont ornés de mes œuvres, offrant aux visiteurs un aperçu de mon parcours artistique.