Sandra Rau

Sandra Rau beschreibt ihren künstlerischen Prozess als „zeichnendes Formulieren“.?Ein wichtiger Faktor dabei ist die Neugier am Unvorhergesehenen.?Aus dem Fundus von Notizen, Fotografien und Skizzen schält sie aussagekräftige Elemente, die sie über längere Zeit hinweg bearbeitet. Fragen der technischen Umsetzung, Form und verbale Verortung stehen gleichwertig nebeneinander und beeinflussen sich gegenseitig. Es entstehen, durch Zufall und technische Mittel forciert, poetische Reflexionen.

Annie Greiner

A 63 ans, Annie Greiner poursuit ses chemins avec une singulière intensité, tout en affrontant la maladie. Peintre de combat, elle est en guerre contre elle-même.

Julien Kuntz

Julien Kuntz est dessinateur de satire et d’humour. Il « croque » ses contemporains depuis près de vingt ans. Sa démarche est une forme de réflexion sur la société d’aujourd’hui et de demain, sur nos comportements, nos contradictions et nos absurdités. Ses dessins représentent des hommes, des femmes, des couples, des squelettes, des animaux, sous une forme satirique teintée d’une pointe de poésie. Ses principales thématiques : la politique et la satire sociale, l’érotisme, la table et le vin, les danses macabres, l’art et les artistes, l’écologie, Strasbourg et sa région. Il travaille essentiellement à l’encre de chine, l’aquarelle et la pierre noire.
Son travail est exposé dans différentes galeries et manifestations publiques, en France, en Allemagne, en Italie, en Suisse et, à partir d’avril 2016, au musée Tomi Ungerer – Centre international de l’illustration à Strasbourg.
Il est auteur de plusieurs livres d’illustration, dont l’un est préfacé par Tomi Ungerer. Son travail se retrouve aussi sur des supports de communication : étiquettes de vins, dessins de presse, affiches, faire-part, cartes de voeux, etc. Certains de ses dessins font partie des fonds d’acquisition publique de l’artothèque et du cabinet d’estampe de la bibliothèque de la Ville de Colmar.

Jean-Louis Bringolf

Déjà tout enfant, j’étais très sensible aux couleurs. Ma langue maternelle était l’alsacien, mais les premiers mots français que j’ai appris étaient les noms des couleurs.
Dès l’école primaire, mon insatiable curiosité m’a parfois valu le surnom de « point d’interrogation ». Aussi, lorsque j’eus fait l’acquisition de mon premier appareil photo, je me suis intéressé à de nombreux sujets. J’ai porté mon regard sur l’architecture, les scènes historiées de chapiteaux romans, les paysages, la nature. Qu’il s’agisse de sculptures, de macrophotographies de fleurs ou d’insectes, de spectacles vivants, malgré la diversité de sujets, je les ai traité sérieusement et non en dilettante.
Passionné par la géométrie, les mathématiques et l’informatique, j’ai évolué vers de plus en plus d’abstraction. D’abord en photo, où j’étais fasciné par les interférences colorées et les gouttes d’encres de Chine de différentes couleurs se déplaçant dans des coupelles remplies d’huile, puis en écrivant de petits programmes en « basic » générant des images à l’écran.
A l’heure actuelle, je crée des oeuvres originales à l’aide de différents logiciels. Parfois je pars d’une photo que je retravaille, souvent aussi, je démarre d’une page blanche pour dessiner des géométries et des perspectives dans lesquelles le regard du spectateur s’égare et se perd. Sans oublier la finalité, qui est de transmettre une émotion face aux formes qui dansent et aux couleurs qui chantent.
J’imprime mes travaux sur différents supports, soit sur papier archive, soit pour les formats un peu plus grands, sur des toiles montées sur chassis, soit encore sur aluminium di-bond pour les rendre accessibles au public.

William Drummond

Du métissage Hopi à la gueule de bois coloniale en finissant par l’exotisme noir, mon travail se lit et se raconte comme une succession d’événements à la fois intimes et collectifs, pour donner naissance à une réinvention du monde.
Mon travail prend la forme d’installations, de dessins, d’éditions ou encore de performances.
En cristallisant mes expériences sous la forme d’expositions, j’ai pour ambition de faire pénétrer le spectateur dans un instant révélateur de nos fantasmes et de nos angoisses. La réalisation d’éditions, de recueils, d’écrits et de conférences vient éclairer mes recherches sous un autre jour : j’organise ainsi le sauvetage d’une pensée en devenir, laissant mes recherches, toujours inachevées, hors de tout enfermement dogmatique.

Nicolas Lecuy

Autodidacte, influencé depuis longtemps par le graffiti (a tenu sa première bombe dès l’âge de 11 ans).
Mon travail s’axe principalement autour d’enchevêtrement de lignes libres.

Bastien Massot

Bastien Massot, alias « Batchou » est sorti de la HEAR avec un diplôme de visuel didactique en 2002.
A la sortie de l’école, Il a travaillé dans un atelier de sérigraphie professionnel pendant 5 ans.
Illustrateur indépendant depuis 2009, il réalise des dessins éclatés dans le milieu de la communication et de la muséographie.
Il monte son propre atelier avec lequel il imprime ses dessins sur différents supports (t-shirts, affiches, flyers…) et anime des ateliers d’initiation a la sérigraphie.

Plaisir d’Offrir

Plaisir d’Offrir c’est le rendez-vous de 4 créatrices, Lorine Boudinet, Claire Boullé, Géraldine Legin et Alice Pessey, toutes quatre issues de la Haute École des Arts du Rhin.
L’idée naît du plaisir d’assembler nos recherches personnelles de manière sporadique et athlétique. Chaque rencontre donnant lieu à un cahier.
Sous différents médiums, à travers nos pratiques distinctes, dans l’objectif d’une édition minimale, nous nous plaisons à vous offrir l’aperçu de nos brouillons, recherches ou travaux plus conséquents sous la forme de livrets numérotés tout au long de l’année.
Plaisir d’Offrir est littéral et expérimental.