MANDRIL

Villes tentaculaires, cathédrales des temps modernes aux ambiances post-apocalystiques, les mondes de Marc Ferrario alias Mandril aspirent et engagent à la réflexion sur l’utopie urbaine. L’artiste qui vit et travaille à Neuchâtel en Suisse crée des mondes fantastiques ciselés au Rotring et lavis d’encre de Chine. Une patience d’entomologiste à l’œuvre pour observer et épingler l’humanité.
Ses illustrations sont nourries d’images de science fiction tout autant que de visions philosophiques et théologiques ancrées dans ses études universitaires. Qu’il participe au Water Tank Project visant à redessiner la ligne d’horizon de New York en intervenant sur les containers à l’eau qui parsèment les toits, ou à travers 2095 Cityscape, Mandril s’inscrit toujours dans une invitation à repenser le monde. Dans la lignée des philosophes utopistes.

Loïc OBERLIN

Évoluant dans différentes voies Loïc s’est trouvé dans la création de volumes en acier et autres matériaux soudables.
Ses sculpture évoquent des objets connus de tous, il aime le surdimensionnement, et vpousse les limites de l’acier et ses dérivés au maximum.

Grégory MORIN

Enfant, Le Roi des Ballons est tombé dans la soupe de contes et légendes, saupoudrée de quelques cuillers de peinture, de cinéma, d’illustration jeunesse et une pincée de mots et merveilles. Le temps s’est occupé du reste et désormais il invente ses propres histoires, raconte ses propres personnages à travers l’image, ici et là, sur papier ou sur les murs en clamant haut et fort, tel une tête couronnée du dessin : « Mon royaume pour un crayon !!! »

Pauline Muntaner

Bluejeanne, tatoueuse et Illustratrice Strasbourgeoise s’installe à M33 le temps des ateliers ouverts.
Venez à la rencontre de ses « gravures d’aujourd’hui », sur papier ou sur peau.
Illustrations, flashs à réserver, prints et tatouages éphémères à venir découvrir!

Kendra Nakamura

Autodidacte et touche à tout, j’aime découvrir, expérimenter, m’enrichir et imprégner mes créations par tout ce qui me passionne et m’entoure.
Passionnée par la création depuis mon enfance mes parents m’ont transmis leur intérêt pour l’art, la couture et le dessin. Cette ambiance m’a fait acquérir l’amour pour les matières et la mode.
Ma mère a travaillé à la lainière de Roubaix et est elle-même autodidacte. J’ai donc toujours baigné dans l’univers du tissus et mon père est un passionné de dessin.
Mes influences sont variées et puisent dans des domaines aussi riches que la musique , le cinéma, la culture anglaise et japonaise, l’art, la photographie, etc.
J’engage dans mon travail créatif toute ma passion et mon temps, avec le souci de dégager une identité propre à chaque création.

Engagée dans la couture , mes tissus sont choisis avec soins, et se veulent de qualité, sont confortables, agréables et originaux pour des réalisations sur-mesure pour femmes ainsi que des accessoires.
Mon travail est en perpétuelle évolution, puisant dans tous les domaines cités plus haut : la mode, la Haute-Couture, le cinéma, l’art et la musique.

Les créations sont pour la plupart uniques, reflets de ma personnalité aux multiples facettes.

Dominique Pichard

« Officiant professionnellement dans la photographie depuis 1997, Dominique Pichard a quitté le confort d’un laboratoire photo où il exerçait depuis une dizaine d’années pour se plonger dans le vaste univers de l’indépendance depuis 2007.
Issu du milieu alternatif, ancien musicien, il commence à se faire la main en arpentant les scènes de festivals et salles de concerts dans la région de Strasbourg.
Il publie rapidement dans la presse tattoo internationale, parcourant le monde au gré des conventions de tatouage qu’il couvre notamment pour le magazine Rise depuis 2008.
Fin 2013, il entame une résidence à la Bibliothèque Humaniste de Sélestat qui s’achèvera en 2017, où il expose des photos du lieu actuellement en chantier et en phase de restructuration. Entre plusieurs voyages en Europe, aux Etats-Unis, en Asie ou en Polynésie, il organise deux expositions hors les murs intitulées De Chair et d’Encre et A corps écrits.
En mars 2015, il rejoint le collectif M33, un atelier partagé à Strasbourg, où il installe son studio et développe d’autres approches du métier pour se frotter à des sensations et des rythmes différents : les ateliers sociaux, la vidéo, le clip musical, ainsi que le photojournalisme qui a débouché sur des premières collaborations avec la presse d’information nationale.
Les dix années de documentation dans le tatouage feront l’objet d’une rétrospective sous forme d’un ouvrage édité par Noire Méduse »
L.S.