Lou A A

« Lou Amoros Augustin a étudié à l’école La Cambre de Bruxelles ainsi qu’a celle des Beaux-Arts de Toulouse d’où elle sort diplômée en 2016. Elle consacre la majeure partie de son temps à dessiner et fait évoluer son travail dans différents domaines tels que l’illustration, le dessin mural, le spectacle vivant et depuis peu la création textile. Elle puise son inspiration dans l’observation de celles et ceux qui l’entourent. »

Damien Lemercier

Damien Lemercier développe un travail situé entre la lumière, la photographie, le cinéma et la vidéo d’art. Il interroge notre réaction au passage du temps, à la déshérence et à l’étrange confort qu’apporte la nostalgie. Influencé par la maniéré dont les peintre de la renaissance rhénane ont traités ce thème des « vieux amants » à « la jeune fille et la mort », il le transcrit dans un univers personnel, vestige présent d’un autre temps, désindustriel.

Emeline Lombrez

Le Bordel de Em. est un petit « bordel » graphique & coloré avec de l’aquarelle (originaux, reproductions) au style croquis carnet de voyage, croqué sur le vif avec quelques fleurs séchées (ramassées et séchées par mes soins) en passant par des illustrations digitales, des stickers, cartes postales, marque-pages, badges, tote-bag et ateliers d’aquarelle.

Mes différentes pratiques artistiques se nourrissent les unes des autres pour se mélanger et créer de belles images. J’aime retranscrire ou cacher des souvenirs mêlés à mon regard sur les choses banales du quotidien. Les petits trésors de vie.

Julie Lamidieu

Zines
Mes fanzines sont conçus de A à Z dans mon atelier.
J’aime travailler avec du papier qui me plait au toucher et à l’œil et qui va raconter une histoire supplémentaire sur le fanzine.
Je réalise des fanzines mêlant texte et image et des fanzines basés sur le collage.
Je les relie soit grâce à la couture ou tout simplement avec une bonne vieille agrafeuse. Les textes sont tapés à la machine à écrire. Les chutes de papier me permettent de créer d’autres fanzines. Mes poèmes racontent ce que l’on voit à travers les fenêtres et ce qui se passe dans les maisons : les relations entre les gens, la société capitaliste, les normes qui nous poussent à adopter un comportement et des conduites, le féminisme et la sexualité.

Vidéopoésie : A travers la vidéopoésie j’expérimente mes poèmes différemment. Je mets en scène les mots avec des images qui sont englouties par des sons. Chaque vidéopoème est unique et pourrait
être recrée indéfiniment. J’aime l’idée qu’il a des combinaisons multiples et que chaque matière va apporter une vision nouvelle du poème.
Je m’amuse à créer des bandes sons sur lesquelles je fais jouer le texte ou alors je détourne des chansons ultra kitchs en mode karaoké sur lesquelles je vais raconter une autre histoire.

Illustration :
Travaillant sur de grands formats ou des plus petits, j’aime raconter des histoires dans mes illustrations. Certaines fourmillent de détails et de petites choses à voir à la loupe, d’autres sont plus sobres et nues sur la page.
Il est question de scènes de la vie quotidienne, d’iconographie moyenâgeuses et antiques et d’objets familiaux qui racontent des histoires ou qui sont juste là, posés de façon hasardeuse.

Louis Lezzi

Né en 1961 et pur fruit de la culture audio-visuelle depuis 1982 et spécialiste des techniques de l’Image, je décide d’adopter le média photographique voilà une vingtaine d’année pour tenter d’exprimer l’inexprimable : La recherche de l’âme à travers la matière et le corps…Lors de mes quelques interventions au CUEJ de Strasbourg, Je commençais mon premier cours par cette phrase : « Sans lumière, pas d’image. Sans objet, pas d’image ».Cette phrase pourrait résumer à elle seule, l’importance de la lumière et de l’humain dans mes recherches photographiques, que ce soit en studio ou en lumière naturelle.

Anne Lerognon

Mon atelier est une pièce indépendante de mon habitation qui est une maison-atelier. Elle a été construite en priorisant cet espace qui est un lieu de vie au même titre que les pièces principales. Je l’ai souhaitée très lumineuse. J’y accueille des visites privées et des stagiaires occasionnellement. Espace intime et de travail solitaire l’atelier est ouvert régulièrement aux autres.

L’Angle

J’ai cet atelier de puis le mois de juin, dans une maison d’un quartier de Bischheim qui ressemble à un village. c’est petit mais il est très agréable d’y travailler. An printemps j’espère que le jardin sera prêt pour exposer dehors.

Le Lion

Mon atelier se situe au premier niveau de ma maison d’habitation au 4 rue du Lion à Guebwiller. La surface est d’environ 40 m2. La partie intérieure sert surtout pour les petites pièces et l’hiver. Il se prolonge par une partie couverte en dur et une couverture en tissu. Mon lieu de travail se situe également à l’arrière de la maison sur une large plateforme pour le travail de taille sur des troncs ou des grosses pièces de bois et le travail de la pierre.

Caroline Laffargue

Au cours de sa dernière période picturale, Caroline Laffargue a souvent marqué ses toiles d’une empreinte urbaine au goût d’asphalte et de ciment des mégapoles américaines dont elle a foulé le sol.Après quelques années de pause, le voyage reste le moteur d’une inspiration qui prend cependant un chemin différent. En effet, il s’éloigne des origines urbaines et tend vers la nature, l’exotisme, le vivant.Les oiseaux.L’artiste en extrait toute une beauté, invitant à l’observation.Ouvrir nos yeux, penser, rêver, réfléchir.La touche subtile du geste donne une tension gracieuse mêlant la flamboyance de l’animal à une catastrophe annoncée. L’artiste réussit un tour de force en associant l’éclat, la délicatesse naturelle de l’oiseau qui contraste terriblement avec ce fond sombre, symbole d’une forêt amazonienne perdue.Les accords entre les formes et les couleurs nous plongent dans cette opposition saisissante d’un avenir sombre pour l’environnement et l’espoir de l’oiseau lumineux. Les peintures sont un zoom sur la nature nous forçant à voir sa fragilité, son importance et sa puissance.C’est une empreinte écologique que l’artiste couche sur ses toiles. Les oiseaux symboles de liberté et de paradis menacé prennent une dimension militante. Sa main, ses pinceaux, ses couleurs servent ses œuvres porteuses d’un message engagé.¬

La Cellule

Une cellule dédiée à la peinture, ouverte sur un jardin. Lieu de repli, frais en hiver, doux en été, au calme, à proximité des oiseaux.