Sherley Freudenreich, peintre
Livre / Fresque / Scène
Depuis son atelier à Strasbourg, elle peint et écrit des histoires. Sortie de l’école des Beaux Arts d’Epinal en 2005, elle poursuit sa formation à Bruxelles, à l’Ecole de Recherche Graphique. Après quelques années dans l’édition et l’illustration, elle démarre une carrière dans le spectacle, en 2013 avec sa première performance dessinée.
Artiste associée aux Amuse-Musées de 2014 à 2016, elle programme des spectacles et des concerts destinés au jeune public dans les musées du Parc naturel régional des Vosges du Nord.
En 2015, elle crée sa Compagnie Directo Cinéma où les images projetées sur écran sont réalisées en temps réel. Sur sa table lumineuse, la peinture s’anime avec des marionnettes au rythme de la musique. Cette pratique de peinture en temps réel, elle la partage en travaillant avec différentes compagnies.
En parallèle à ces performances scéniques, elle crée également de grandes fresques colorées en milieu urbain, souvent en participation avec le public.
Kaspar Flück (*1989, Solothurn) opens multiple and ambiguous spatial structures in his classical oil paintings, waving between light and dark, in layers repeatedly reamed. Similar to puzzles, the paintings leave open whether one looks into spaces or at bodies. Birth cave and star birth thus overlap even more intimately than in religious painting, but at the same time without any Christian sentimentality. With Michael Biberstein (1949-2013), the baroque Solothurn has already produced an artist who catapulted himself from the aesthetically exuberant historical epoch directly into modernism. However, the latter rather docked to the light frescoes of the late Baroque, while Flück explores the dramatic Chiaroscuro painting of the altar paintings of the 17th century anew.
Katharina Holderegger, Kunstbulletin 4/2018
Situé dans le quartier d’activité artisanale de Boersch. 50 m2 environ au Rez de chaussée de la maison principale d’habitation de style traditionnel, à colombage.
Pierre Fædi est un illustrateur et un imprimeur. Il a fondé la maison d’édition « Gargarismes » en 2014, et produit et imprime des livres, des affiches et des cartes en sérigraphie et au Risographe. « Urin Gargarism » est le pendant musical de son projet, un micro label sur lequel il édite des vinyles et des cassettes.
Il créée l’atelier d’impression « Garage Print » en 2019 avec Emmanuelle Giora au sein du regroupement de structures et d’indépendants Garage COOP, dans le quartier du Port du Rhin à Strasbourg. Il adore dessiner des structures et des motifs dans lesquels ses personnages semblent se mouvoir (ou non). Il boit de la tisane ou du café (selon l’envie), il se complaît à laisser en fond des documentaires sordides glanés sur les internet.
« Oh ! Mais c’est de toute beauté ! » Eric Judor, la Tour Montparnasse infernale
Il s’agit d’un grand appartement qui me sert comme espace de vie, espace d’exposition et atelier.
Les œuvres sont variées et parlent d’espace, de paysage, de fragment, de temps. Les oeuvres sont réalisés sur place en relation avec l’espace.
Les matériaux utilisés sont le carton et le papier, ainsi que l’encre, l’aquarelle, le fusain, la craie, le graphite, la dispersion et bien d’autres encore. Il s’agit d’un équilibrage permanent de l’espace. Les œuvres sculpturales sont parfois massives, comme des murs, des parois, architecturales. Et d’autres fois, elles sont dessinées, aériennes et flottent librement, comme par exemple une forme d’escalier suggérée. Ce qui frappe, c’est le côté fragmentaire, fractionné. Les espaces et les vides sont essentiels. Aussi bien au sein des œuvres que dans l’ensemble de l’espace de l’exposition. L’espace devient un nouvel ensemble. Les observateurs font partie de la structure. L’aspect processus devient évident et incarne l’aspect temps. L’espace et le temps sont fondamentaux.
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Die Werke sind vielfältig und erzählen von Raum, Landschaft, Fragment, Zeit. Die räumlichen Arbeiten entstehen vor Ort. Die Materialien sind Karton und Papier, sowie Tusche, Aquarell, Kohle, Kreide, Graphit, Dispersion und mehr. Es geht um ein ständiges Austarieren von Raum. Die skulpturalen Arbeiten sind teils massiv, wie Mauern, Wände, architektonisch. Und dann wieder sind sie zeichnerisch, luftig und frei schwebend, wie zum Beispiel eine angedeutete Treppenform. Das Fragmentarische, Bruchstückhafte fällt auf. Wesentlich dabei sind Zwischenräume und Leerstellen. Sowohl innerhalb der Werke wie auch im gesamten Raum der Ausstellungssituation. Der Raum wird zu einem neuen Ganzen. Die Betrachter sind Teil des Gefüges. Das Prozesshafte wird deutlich und verkörpert den Aspekt Zeit. Raum und Zeit sind grundlegend.
Commissaire d’exposition/Kuratorin der Ausstellung: Kerstin Mörsch
L’atelier FAB est situé dans une maison alsacienne de 1910. Il est équipé d’un plateau de 20m2, d’une presse taille-douce de 50cm, d’une zone de bureau pour la création numérique, d’un espace dédié à l’encadrement et d’un local de stockage.