Hildegard Wagner-Harms

Des souvenirs d’enfance, la vie à la mer, restauration d’un vieil art graphique et toujours l’inspiration par la musique ont gravé(caractérisé) ma peinture. Des structures de surface donnent une valeur en trois dimensions à mes images. J’admets le matériel(la matière), cela s’écoule de moi. Je découvre dans le caché, dans la nature, comme je le vois(l’épreuve) à la mer, mon pays natal et jouir du calme. J’aime le mystique, la lumière et ombre et l’étendue infinie. Ce sont des images du silence.

Ikhyeon Park

Né en Corée du Sud, l’artiste plasticien et scénographe Ikhyeon Park vit et travaille à Strasbourg.
Il pratique une forme d’art relationnel à travers des projets coopératifs avec des divers artistes et des publics variés. Son processus de travail est en lui-même un dispositif artistique, qu’il perçoit comme une allégorie du factice du monde d’aujourd’hui. L’artiste s’intéresse à la perméabilité des domaines artistiques, il mélange ses expériences de scénographe et de réalisateur de spectacles à ses œuvres plastiques. Sa recherche artistique se fait autour de ce qu’il définit la mise en scène à la rencontre au public. Il s’intéresse à la fois à la forme et au fond des interactions sociales qu’il vit en tant que citoyen et individu. Pour lui le
mécanisme de la forme artistique de la scène permet d’introduire sa perception vers le monde à l’action coopérative d’un projet artistique.
Il est diplômé de la Haute École des Arts du Rhin de Strasbourg (DNSEP – Scénographie) en 2015, de l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Lyon (DNAP) en 2013 et de la Faculté des arts et de design de l’Université Konkuk de Séoul (BFA) en 2009.
Ses projets ont été présentés dans le cadre d’expositions personnelles, collectives et d’une forme d’art vivant telles que : « Bing, Bang, Plouf. », exposition personnelle, à CEAAC de Strasbourg en 2019, « Equi Libre », installation et performance, à FITZ Theater de Stuttgart en 2023, « Demains », exposition en groupe, à l’Art-Exprim à Paris en 2021 et etc.

Éphémère singulier (collectif)

« Il y a des petits ouvrages de rien du tout, tout à fait sommaires, quasi informes, mais qui SONNENT
très fort et pour cela on les préfère à maintes œuvres monumentales d’illustres professionnels »
Jean Dubuffet

Sophie Guermeur

Originaire du Finistère en Bretagne, cela fait depuis Septembre 2009 que j’habite Strasbourg. Je suis créatrice de la marque Ti’Bout, c’est une collection de décorations pour les chambres d’enfants ainsi que de la confection de vêtements et accessoires pour bébé.
Je crée également des toiles à côté de Ti’Bout dans le même principe mais beaucoup plus travaillées. J’aime méler différentes techniques de broderies, de peintures, collages… Cela fait plusieurs années que je travaille dans ce domaine, et c’est la dedans que je m’épanouie, le style de mes toiles varie selon mes humeurs et sentiments du jour où je les réalise.
De nature réservée, je m’exprime à travers mes créations, il y a toujours pleins de petits détails à regarder et à découvrir…

Johann COUTURIER

Johann Couturier
signe ses peintures
avec son surnom
YO…
Il se définit comme
un peintre du vivant
à l’état pur, vif et spontané
tel un humain totalement
libre et instinctif.

Le Tremplin (association)

Association le tremplin:
Pauline: peinture et création de bijoux.
KroKlis: Illustratrice.
Duchesse Heim: Création à base de végétaux et de produits récup’.

Jennifer Roberts

Jennifer Roberts travaille le textile, et notamment le tulle, matière onirique par excellence, sous trois aspects:
– Elle réalise ainsi des robes aériennes et vitaminées, faisant écho aux rêves de notre enfant intérieur (Vaste choix de coloris disponibles. Pour adulte et enfant).
– Elle a aussi développé un concept original de luminaire autour de son matériau fétiche.
– Enfin, elle réalise des sculptures ou installations en tulle.

Catherine Laborde

Catherine Laborde présente une série de grands formats à l’encre, autant d’invitations à une méditation poétique, pour dépasser les apparences et tenter de saisir l’élan intérieur qui habite les choses et les êtres.
Son travail passe par l’écoute, le dépouillement, le silence : chorégraphie du geste impliquant tout le corps, répétition des formes, lâcher-prise au contact de cette présence qui infuse en soi avant l’action.
Pigments, encres et brous de noix irriguent le papier, tracent leurs sillons, façonnent l’espace de ce territoire esquissé. Le papier agit seul, tel une mue, une empreinte directement reliée à l’instant présent, sans repentir… «?Au sein de l’encre, la pierre recommence à germer » (Gaston Bachelard, La Poétique de l’espace)

Line Engelmann

Line Engelmann est une étudiante de 21 ans qui, a baignée dans l’art depuis petite. C’est avec un bac options Arts-plastiques qu’elle se dirige vers la Faculté de Strasbourg, où elle obtiendra sa Licence. Poursuivant vers le Master Recherche elle tente dans cette filière de remettre en question son travail pour avancer vers de nouvelles techniques, s’ouvrir aux diverses champs de l’art et acquérir l’aisance d’écrire sur l’art.Son travail se diversifie souvent alliant peinture et craie. Le portrait qu’elle travaille essentiellement est pour elle le moyen de capter un moment, une émotion en mêlant abstraction et figuration. Avec ce master son travail change, ainsi que la manière de l’aborder, en effet elle remet en question la pratique du portrait pour prendre un nouveau tournant vers des scènes quotidienne influencé par la société.