Sarah FAVRAT

Puisant une inspiration et une énergie dans la nature et l’environnement qui nous entoure, ma recherche artistique m’emmène dans différentes expressions de l’image. Passionnée par l’architecture humaine et naturelle, j’aime mettre en résonance différentes techniques pour exprimer une vision poétique de la réalité.

maxime Loiseau

Maxime Loiseau : photographe depuis sa jeunesse, parti d’Alsace, Maxime promène son appareil photo aux quatre coins du monde. Son travail est une réflexion sur le réel et sur l’art. Ses photographies et objets surprennent, rencontres improbables, assemblages insolites dont la poésie et l’humour, teintés parfois de mélancolie ou d’ironie, font la force.

Citation de Jo Vargas, peintre
« »On ne sait pas ce qu’on va peindre comme on ne sait pas ce qu’on va rêver.
Après on peut le raconter mais on en oublie une partie. »
Jo Vargas

AU FOND QUI SAIT CE QUE JE FAIS ?
Cela fait très longtemps que je fais, à la fois, de la photographie et des collages, et du « robinsonisme » : je vis dans mon île.
Cette insularité particulière produit aussi une illusion bizarre qui me dessert : je pense que tout le monde sait quand même ce que je fais ; la puissance de ma pensée traverserait les airs… ha ha ha!
Je communique quand même, mais je préfère écrire ; j’écris plus que je ne visite ; faut dire que l’île n’est pas bien desservie…

Jordan Grosse

Mon travail aborde les thèmes du paysage, du déplacement et de la rencontre. Suivant l’environnement dans lequel je me trouve, des formes vont venir attirer mon attention. La photographie m’aide à comprendre la composition de ces formes : rapport de masse, construction de la ligne, soin des couleurs. Face à la photographie, la sculpture est une manière de prolonger mon regard en donnant corps à ce dernier. Les matériaux utilisés sont : le bois, le plâtre, la résine et le papier. Sculpture et photographie s’articulent ensuite dans l’espace et deviennent ensemble l’écriture d’un nouveau paysage.

Nina Ferrer-Gleize

Le travail de Nina Ferrer-Gleize se partage entre la photographie, l’écriture, l’édition et l’étude théorique ; ces différents mediums sont autant
de langages à faire se rencontrer. Elle confronte la poésie et la photographie autour de la notion de paysage et de ruralité..
Elle enseigne depuis septembre 2015 à l’École Supérieure d’Art d’Épinal ; au sein du pôle théorique, elle propose des questionnements qui visent à faire se toucher art, littérature et sciences humaines.
Nina Ferrer-Gleize a exposé à la Galerie Lillebonne, à Nancy, au Syndicat Potentiel, à Strasbourg, au Musée de l’Image, à Épinal, et à la Kunstverein Bitcherland/Artopie à Meisenthal. Elle écrit également des textes pour des artistes, ainsi que pour des catalogues d’exposition. Elle intervient régulièrement au sein de colloques ou de séminaires.

Jean-Luc Boutard

Faire danser la pellicule, regarder à hauteur d’enfant, rafraîchir le débat politique avec quelques traces de colle… Autant d’expériences insolites auxquelles vous convie ce photographe.

Pierre Pommereau

De formation scientifique et économique je travaille d’abord dans le cadre de projets souvenant l’innovation en santé. En 2012 je décide de me consacrer pleinement à ma passion en développement mon activité de photographe professionnel. En parallèle des travaux de commande, ma pratique personelle s’intéresse à la place de l’image photographique dans le monde contemporain. Je souhaite redonner plus de liberté à l’exploration visuelle et privilégier sa part contemplative.

Marianne Maric

Marianne Maric (née en 1982) est une photographe française.

Pour l’artiste, le corps est une architecture, son œuvre se joue du symbolisme.
Dé-construire des stéréotypes pour mieux les utiliser, elle photographie ses amies comme des sculptures vivantes. Son travail est montré en de nombreuses occasions : solo show à la galerie Duplex100m2 à Sarajevo, à la Villa Noailles à Hyères, au festival de Photographie de Valparaiso, dans les Balkans… Entre 2012 et  2014, elle fait des recherches sur l’oeuvre des frères Baschet, et va remettre en scène les robes crées par eux pour le film Qui-êtes-vous Polly Maggo ?de William Klein dans un opéra, avec la complicité de Pierre Bal-Blanc, au CAC de Brétigny. Ses lamp-girls ont été montrées autant dans le mythique studio Showstudio de Nick Knight à Londres qu’au Musée Galliera à Paris. Par ailleurs Marianne a enseigner à Athènes tout en faisant des ateliers artistiques avec des collégiens en difficulté , des détenus purgeant une lourde peine. Ses photographies publiées autant dans Reporters sans frontières que dans Modes Pratiques, elle s’amuse à flirter avec le risque politique en allant dans des endroits minés, dénonce l’exclusion des sans-abris avec des mini-performances dans le métro parisien, dirige Lydia Lunch en lui faisant lécher des miroirs, tout cela pour se servir de la réalité comme d’un studio géant. Ces dernières années, elle a suivi une formation de sourcière.Elle sévit entre l’Alsace et Paris, et ne perds jamais une occasion de pointer du doigt la richesse des traditions alsaciennes.

Anne TRAWALTER-GARZIA

Aujourd’hui libérée des enjeux techniques et commerciaux liés au design textile, je peux porter un regard tantôt détaché, critique ou naïf sur cette surface, cette seconde peau. Je choisis de bousculer les codes, et la surface n’existe plus en tant que produit. Projections, collages, bricolages… Pour l’agence Artterre : « Avant de laisser son empreinte sur une surface, Anne s’interroge sur ce qui la rend singulière. Recouvrir ou au contraire dévoiler, dire ou taire, rien n’est figé et c’est dans cette grande liberté qu’elle puise son inspiration. »

Vanessa Gandar

Vanessa Gandar est photographe plasticienne et commissaire d’exposition indépendante. Depuis 15 ans, elle développe une pratique photographique en lien avec les paysages du monde entier suite à de nombreux voyages et projets de volontariats. Elle participe à des expositions en France et à l’étranger, récemment à la Biennale de la Photographie de Mulhouse, bénéficie de résidences d’artistes, comme à la Ferme Asile en Suisse et obtient plusieurs bourses de recherche et de création, dernièrement la bourse de la photographie documentaire du CNAP.
Ces expériences de vie lui ont permis d’apprendre à regarder, à analyser et à aborder de nombreux territoires afin de mieux en comprendre les enjeux et les
contextes. Ses photographies à l’esthétique minimale et contemplative montrent des paysages sublimes et dépourvus des êtres qui les peuplent. En habitant ces
grands espaces, en vibrant avec les phénomènes naturels en présence, elle réaffirme l’expérience de ce qui fait notre présence à la surface d’un monde fragile.
Ses projets sont habités d’histoires, et d’enquêtes de terrain. Ils questionnent les représentations du paysage, les multiples temporalités et transformations qui y sont à l’œuvre, les relations entre les vivants au sein des mondes partagés.