Marie Studer

Marie STUDER, après sa série de portraits de femmes issus de l’iconographie moderne, découvre lors d’un voyage à Berlin le travail d’une chorégraphe, Sasha Waltz, qui chemine sur les traces de Pina Bausch. Dans ses spectacles se mêlent la force des corps, le désir, l’attraction, la passion, la mort aussi, et particulièrement la puissance et la force de vie.

De manière plus personnelle, le fait d’aborder le thème de la danse contemporaine lui permet de rejoindre une aspiration, celle de peindre ce qui est furtif, ce qui est encore sur la rétine mais déjà disparu au profit d’un autre mouvement.

Elle veut garder ce geste brut, naturel, vivant et fuir les aplats, arrêter le temps tout en gardant le mouvement intact.

Eric-Azad Topouzian-Bezdjian

resentation: ( max 3000 signes) En réflexion sur les affres du monde et la condition humaine. Artiste autodidacte protéiforme, je travaille sur plusieurs supports à partir de matériaux de récupération (collage et peintures, sculptures, installation, photos…).
Mon travail interroge et provoque le monde et pose des constats parfois, par rapport à son histoire passée et récente; sur  ses mutations, ses guerres, la condition humaine universelle dans sa  globalité (enfance,mort, travail, guerre, famine, génocide, bouleversements sociologiques, identitaires et culturels…)

Anne Hechinger

C’est par le biais de mes études d’histoire que mon intérêt pour l’histoire de l’art et la création artistique s’est forgé et a émergé. J’ai ainsi alterné entre des temps de formation auprès d’école comme au CNIFOP à Saint Amand en Puisaye , des cours auprès d’artistes et des ateliers de la Hear et des temps de progression et de travail plus personnel.
Mes inspirations sont ainsi la peinture fauve, les expressionnistes allemands , américains, le monde végétal et animal. J’aime alterner entre des périodes de peinture et des périodes ou le dessin est plus fortement présent. c’est le foisonnement qui importe.

Florence Soissong

Énergie du sang qui circule, jubilation de la couleur,
foisonnement, chaleur et vibration
J’explore la terre des origines ou l’esprit s’incarne dans la matière.
Je célèbre la vie dans un processus de création rituel et musical d’où émergent des formes
organiques, végétales, animales et humaines.
Pour cela, j’utilise des matériaux naturels et vivants:
pigments, cire, œufs, chaux, laines,
qui font corps avec les peaux que sont les murs, textiles, feuilles de papier ou écorces d’arbre.

Emmanuelle Priss

Elle met en avant dans sa démarche le caractère créatif de la marche à pied, elle saisit un territoire d’abord par l’épreuve
physique avant de dérouler la construction mentale qui a découlé de ce cheminement.
“L’inspiration me vient de l’observation de la nature. Je ne souhaite pas la représenter dans sa forme, mais dans sa présence. Une présence généreuse, dense, inquiétante. Une sensation d’énergie, la nature a cette force. Si les thèmes abordés à travers mon oeuvre peuvent être différents, un chemin ou des corps,
mon geste est le même spontané et rapide”.