C’est entre art et peintures, sculptures et pop art que Renato Montanaro façonne ses oeuvres. Innovant, Renato a mis en avant des concepts inédits, tels que la peinture 3D. Ses idoles ? Picasso et Michel Ange.
C’est entre art et peintures, sculptures et pop art que Renato Montanaro façonne ses oeuvres. Innovant, Renato a mis en avant des concepts inédits, tels que la peinture 3D. Ses idoles ? Picasso et Michel Ange.
« Pascal STuTZ , dans son atelier de Strasbourg, peint, dessine inlassablement. » Et parfois, il utilise de la résine et des pigments phosphorescents, ou crée des performances sonores et dansantes.Ses sujets de prédilection sont liés à son étonnement d’être dans le monde, au miracle qui représente la vie sur une petite planète perdue dans un si vaste univers « Tout comme l’archéologue frotte la pierre pour en restituer les détails effacés par le temps, il frotte un morceau de dentelle pour questionner l’abstraite chevelure de la comète. Toujours le même morceau de dentelle, mémoire de lui même, devenu la matrice de Halley… Conformément aux calcules de la Nasa, en bas de ses images, l’artiste marque le nom, la position de la comète dans l’espace et la date correspondant au dessin du jour. Il inscrit aussi son nom, comme une trace immortelle, confiant son message à la majestueuse comète qui ne connaît pas le temps… En art, sur le papier, la vérité surgit de ses énigmes. » Ileana Cornea (critique d’art) Paris déc. 2020, à propos de la série nommée « 2061lacomète »
La principale inspiration de l’artiste, Ewa Rossano e st l’Homme, la dualité de l’homme et sa complexité. C’est un travail sur les deux éléments qui nous cohabitent que l’artiste met en vue: la fragilité et la force. Dans ses sculptures, Ewa Rossano fait ressentir la coexistence de deux mondes: le monde physique et le monde spirituel. Le bronze évoque le monde physique, la stabilité, ce qui nous rattache à la Terre, à l’Homme. Le cristal évoque la transparence, la lumière, tout ce qui nous relie à l’air, au ciel, à l’invisible. Nombreuses sculptures d ‘Ewa Rossano sont devenues les Prix pour les personnes d’exception dans les domaines du Droit de l’Homme, de l’Egalité et de la Culture ( pour citer Prix Egalité et Diversité / Conseil de l’Europe, Prix Audentia / Conseil de l’Europe, Eurimages, Prix Jean Rey / Parlement Européen, Prix Angelus / Prix de l’Literature de l’Europe Central etc). Née en 1973 à Wrocław, Pologne Diplômée de l’École des Beaux-Arts de Wrocław Diplômée de l’école Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg Bourse d’études à Bezalel Academy of Arts à Jérusalem. Commandes publiques : 2009 – 2020 Statuette « AUDETNIA » Eurimage, Conseil de l’Europe Statuette « Angelus» Prix de Littérature de l’Europe Centrale Statuette « Prix Jean Rey » Prix d’Humanité du Parlement Européen Statuette « ELSA » Conseil de l’Europe 2012 « Planète cristal » sculpture monumentale, commande de la ville de Wroclaw, Pologne 2010 « Angélus Silesius » sculpture monumentale, commande de l’Institut Ossolineum, Pologne
Henri Walliser Mon travail est Pop au sens qu’il est jeune, spirituel, sexy, peu cher et fabriqué en série. Il exalte la vie, est positif, optimiste. Le Pop c’est de l’amour. Amour des êtres et des choses. Ma culture est urbaine, je suis un enfant des villes et du Rock. Je suis graveur et comme me disait Rémy Bucciali mon travail oscille entre sophistication et vulgarité, raffinement et trivialité. Je compose mes gravures comme des rock-songs. Je parle une langue ancienne régénérée au contact des années 80. Economie de moyens,patience; réalisme, mon travail est une ode à la liberté, une reminiscence d’un Eldorado perdu. Artiste graveur, diplômé des Arts Décoratifs de Strasbourg, a exercé différents métiers (maquettiste,receveur,vendeur, manutentionnaire, enseignant) avant d’être assistant du peintre suisse Rémy ZAUGG puis de Rémy BUCCIALI imprimeur d’estampes à Colmar. Influencé par le rock et le Pop art trouve son inspiration dans la ville et le quotidien. A exposé en Angleterre (Loughborough,Bristol), Allemagne (Euskirchen,Karlsruhe,Landau…) Espagne(Cadaqués),est représenté par la galerie Orlinda Lavergne. Privilégie les techniques sèches que sont le burin et la mezzotinte. Depuis 2017 il incorpore la couleur dans son travail.Commence une série de gravures sur la route 66 qui traverse les Etats Unis d’est en ouest.
C. et D. sont dans le couloir et admirent les tableaux de C. Je passe devant un tableau de chevalier allongé et ne peux m’empêcher d’admirer l’ambiguïté qui se dégage de ce chevalier en armure : sa féminité et sa juvénilité alliées à sa force masculine, à sa puissance guerrière. Sa grâce céleste, irréelle, et sa force tellurique. Je crie à qui veut l’entendre « Quelle ambiguïté ! Quelle ambiguïté ! ». Et ces mots résonnent pour moi comme la plus belle des choses que l’on puisse faire en peinture. Rêve du 17 juin 2010 Je suis peintre. Je vois mon travail comme un carnaval, un lieu où tout est possible. Dans mes tableaux, je vis une « autre » vie, libre de toute morale et affranchie de la réalité. Si je suis bien élevée dans la vraie vie, je suis une peintre « dé-polie », « dé-policée ». Mon père spirituel est Otto Dix. Ma mère spirituelle, Paula Rego. Peindre, pour moi, c’est pouvoir être à la fois une bonne sœur et une mère maquerelle sans que cela pose problème. C’est créer des êtres hybrides, un homme qui a des seins, une femme qui a 3 jambes. C’est faire cohabiter dans le même espace-temps mon amie Célie et Gargantua, le personnage de Rabelais peint par Doré. C’est vivre dans un monde où lilliputiens et géants se côtoient. C’est avoir un visage bleu. C’est piétiner un ancien amant et qu’il s’en sorte sans une égratignure. C’est autoriser une histoire d’amour entre mon ami Guillaume et une statue de marbre. C’est escalader à mains nues une montagne infranchissable sans être alpiniste. C’est avoir tranché une tête et se balader avec en bout de bras sans risquer la prison.
Présentation d’après le poète Jacques KOBER, Nice (1925-2015) Un arbre ne multiplie jamais une multitude, donc un anonymat, il vit une liberté, hymne à la légèreté, obstinément mais spatialement vif de voilure. Le silence d’un arbre n’est pas délayé du silence de la forêt. Ainsi le concret du travail de Sébastien Kuntz c’est aussi bien l’enclume et la tignasse des souches nouées que la branchie de la délicatesse, ténuité ventilée de la sonorité des sommités: la ronde du vol d’insectes bougeant comme chaque feuille de la diversité attend son oiseleur. S’il est difficile de faire marcher les arbres au pas, c’est que leur architecture calme et soigne la fièvre humaine, mangrove ou futaie, dragonniers ou jacarandas, flamme nocturne du cyprès ou encore baobab aux épaules étagées de nuages. Une forêt est-elle en marche, et les arbres se pressent-ils en exode, ou bien rêvent-ils notre équilibre, découvrent-ils pérenne d’écrire sur écorce de bouleau, de même que chez Kuntz toutes les écorces circonscrivent son art.