Lucie Schoch

L’univers de Pouicpouic Box voyage entre poésie, création et sérigraphie.
Cartes postales et photographies anciennes passent sous son cadre pour un relooking décalé.
En broche, en sac ou encadrées, la galerie des ancêtres augmente au fil des mois, remettant à jour ces clichés oubliés.
Lucie, créatrice de Pouicpouic Box aime ajouter une touche d’humour ou de mystère sur ces images anciennes. La sérigraphie lui permet d’intégrer aux photographies ses illustrations comme une seconde peau.

Organe Kauffmann

Faiseuse d’images et graphiste / webdesigner indépendante à Strasbourg.
Des design loufoques aux lignes épurées : du chiens saucisse aux tête de cul…

Emilie Philippon

Mon univers graphique se compose de formes géométriques, éléments typographiques, effets de matières propre aux techniques que j’emploie. Mon style est de tendance minimaliste avec des influences pop.

Pascale Rismondo

La vie, la nature, le voyage… de la sérigraphie au monotype… pour moi, toutes les techniques sont bonnes pour exprimer des sensations ou des histoires, toutes les histoires sont bonnes pour créer des collaborations entre la création et les ateliers d’impression.

Margot George

Gomar George Margot, artiste sérigraphe, fait partie du Collectif Tardigrade qui réunit 5 jeunes autrices-illustratrices issus de l’ESAL d’Épinal.
C’est donc au cœur de la forêt vosgienne que s’est formée leur singulière colonie. Elles ont posé les fondations de leurs propres univers en racontant des histoires et en créant des images. Forts d’une même envie de mettre leurs talents en commun, elles se sont lancées ensemble à la conquête du monde de l’édition menant leur transhumance jusqu’à Strasbourg.

Hélène Humbert

Ossillant entre l’illustration jeunesse, l’installation et l’image imprimée, mon travail artistique s’axe autour de trois idées globales qui se croisent, se nourissent et se répondent: le processus, la participation et la transdisciplinarité.
Que ce soit pour les images, les éditions, les installations ou les ateliers, j’amorce toujours une idée de projet en collectant des éléments.
Je récolte des mots, je repertorie des formes, je liste des couleurs. Ce “protocole” me permet d’établir une base visuelle et sensorielle cohérente. Il est d’autant plus intéressant de l’utiliser pour des projets collectifs et participatifs.
Ce rapport aux publics est pour moi primordial, que la réalisation même de l’oeuvre se fasse ensemble, avec les personnes ou que la finalité de l’oeuvre amène les gens à manipuler, transformer ou s’approprier les éléments. Il est important que le contact avec l’art soit humain et partagé.
Les différentes sensibilités et les différentes approches que chacun peut avoir de l’art sont également une source de réflexion. La dimension pluridisciplinaire d’un projet me permet, avec une même intention et une même idée, d’en proposer différentes visions, différents angles. Je ressent souvent le besoin de transposer une même pensée, un même projet, d’une manière différente. J’accompagne mes images au-delà de leur finalité en tant qu’image. Leur vie continue souvent dans une installation ou dans un atelier. Toujours dans ce soucis de compréhension, de partage et d’échange. Tout peut toujours être raconter et reraconter d’une autre façon, à un autre moment, dans un autre élan et dans un autre lieu. Cette approche me permet aussi de me détacher de mes créations, de les voir se transformer et de les laisser vivre ailleurs, avec d’autres.

Mathieu MONFOURNY

À la sortie de l’école d’art j’ai choisi le statut de Designer Graphique indépendant, mais j’ai pris soin de continuer en parallèle mon activité artistique en plébiscitant des techniques plus artisanales comme la sérigraphie, la gravure sur bois et sur verre. Considérant l’art comme le moyen d’exprimer ses idées et de s’engager, c’est par l’affiche et le print que je diffuse mes questionnements et mes interrogations sur différents sujets. Mon activité professionnel nourrissant mon activité artistique et inversement, j’essaie d’établir des ponts entre graphisme, communication et idée. Le but étant d’ouvrir des réflexions à un large public trop souvent coupé de la culture visuelle.

Caroline Dargere

Caro fait des illustrations, des poupées et de l’impression traditionnelle (gravure, sérigraphie). Elle aime bien raconter des histoires de quand les êtres humains vivaient dans des petites cavernes humides ou des gros chateaux sombres.