Mounya Kecha

Mounya Kecha
alias DYLAKS
Artiste Peintre Graphiste
Art Contemporain & Graphisme

Irakli Chkhartishvili

Artiste d’orient et d’occident, d’hier et d’aujourd’hui. Sculpteur et peintre. Argile, bronze, bois, soie, mosaïque, marbre, plomb. Broderie et marteau piqueur. Mystique et érotique.

La vie est une somme de contradictions et l’art donne à l’individu son seul repaire pour pouvoir se situer entre ses polarités.

Zahra Ferhati

Née au sein d’une famille d’artistes, le travail de Zahra Ferhati est profondément lié à sa démarche philosophique et à son histoire personnelle mais néanmoins vous croiserez dans ses tableaux des lieux et des personnes, des édifices habités par des voyages intérieurs lointains qui s’inspirent de l’Orient.?..
Ces éléments ont souvent une présence irréelle; visages cachés, démarches abstraites, idées et corps flottants… Ils forment un monde à part, un écosystème onirique et symbolique qui rend la réalité accessoire et permet à l’artiste de réinventer sa géographie idéale, son jardin existentiel et sa généalogie personnelle du voyage. Jeune artiste plasticienne habitant dans le Haut- Rhin depuis 2010, ses recherches ont souvent été liés à la découverte du corps humain.

Et l’artiste précise : « cela fait presque dix ans que j’étudie l’anatomie humaine et m’interroge sur son fonctionnement si magique.
Cette Recherche plastique, scientifique et philosophique a abouti à des questionnements sur les liens qui peuvent se tisser entre le fonctionnement organique de notre corps et nos affects » et des questions se posent :
Comment l’équilibre établit ? Si, il est rompu, que se passe- t-il? Et la plasticienne ajoute :
« J’étudie, j’observe, et je crée un graphisme cellulaire imaginaire et poétique ».

En parallèle depuis 7 ans, Elle crée des dessins et des gravures représentant des mondes imaginaires intimes, liant Égypte, l’inde ainsi que l’Asie.
Et l’artiste créatrice de transmission conceptualise :
« Une identité accueille, donne, échange, fait circuler des connexions et interagis. L’art est un magnifique vecteur de transmission »

Celine Lachkar

Le constellatoire et le fragmentaire sont à l’image du sens de mon travail :

Le regard cloisonné et éclaté de notre civilisation, la perte de lien et de sens, et en même temps sa quête.

Utilisant le dessin comme moyeu et moyen, et avec finesse et fragilité, jouant de maquettes et de mise en scène, je m’attache à représenter l’irreprésentable, à donner accès à ce qui ne peut se dire, c’est-à-dire cette quête de ce qui est au-delà de la forme, de ce qui traverse les êtres et les choses. Cet espace de la concentration, du cheminement et la magie du précieux qui ressurgit et affleure la surface. Ce chemin initiatique des contes et des mythes, qui induit l’idée de réconciliation.

Un conte à multiples facettes où j’opère à la manière d’une miniaturiste, par la finesse, l’attention aiguisée, l’intérêt pour le symbole et les multiples niveaux de lecture.

J’y raconte sous différents angles, deux visions qui me constituent : celle caractéristique de notre société moderne, réductionniste et partitionnée, et celle du chercheur ou du créateur qui par sa concentration peut retrouver une profondeur et une cohérence.

Ce premier regard, mécanisé et aride, nourri de quantité, de vitesse et de spectaculaires reflets, s’arrête à la surface du monde. Comme une terre mal irriguée, il sèche et se casse.

Cet état de minéralité avancée appelle à irriguer et redonner une profondeur.

Dans cette quête de réenchantement, je cherche à créer des images qui nous réparent, nous abreuvent. Je cherche des surfaces qui chantent. Des talismans.

Pour relier les fragments, trouver les résonances, on peut écouter ce qui vibre encore, ce qui brille dans le noir, nos trésors intérieurs.

Cette attention, présente dans le soin et la minutie, est un instrument de renversement du regard, qui permet d’introduire un point d’inflexion, une verticale dans l’horizon. Elle permet de décompacter et creuser dans la surface.

Je vis et vois le dessin comme un acte sensible, poétique, de quête du vivant et de

fertilisant de l’âme, qui va chercher ce qui vibre encore, remet en circulation.

Un cheminement de pélerin pour se défaire d’un mauvais sort, un acte magique ou conjuratoire, qui ouvre le minéral.

Dessiner, c’est aller loin dans les pierres” (Yves Bonnefoy)

Les dessins laissés sur les pierres des grottes abandonnées finissent toujours par les ouvrir”

(Roberto Juarroz)

Redonner voix à ce monde, le refaire chanter, voilà qui ne relève pas de notre seule compétence, mais qui n’est pas non plus hors de notre pouvoir” (« Résonance » Hartmut Rosa)

 

Patricia Sebaikhi

Peintre autodidacte, passionnée d’art je découvre assez jeune l’univers de Salvador Dali.
Plus tard l’expressionniste abstrait Jackson Pollock m’interpelle, sa technique de dripping me fascine.
La liberté de mouvements, l’abstraction de la peinture ouvrent mon esprit créatif.

Dès lors je me mets à utiliser différentes techniques sur de multiples supports en utilisant des matériaux originaux et complexes.
Par le biais de la peinture j’exprime ma personnalité en créant des toiles originales et uniques.
Mes tableaux sont le résultat d’un ressenti, d’une émotion ou encore d’une vibration.

Démarche artistique

Le monde irrationnel représente pour moi l’univers qui m’apprend à voir ; à travers mon existence. C’est un dialogue qui permet d’équilibrer la relation entre ma réalité intérieur et extérieur.
Du désordre à l’ordre, de déconstruction en construction ; l’image prend une dimension nouvelle. .Lors de cette démarche artistique, l’image se révèle de manière significative pour moi.
Il ne s’agit pas d’une abstraction qui simplifie la structure de l’image mais au contraire d’une représentation plus condensée.
D’un point de vue psychologique, ce que j’appelle l’ordre et le désordre de l’image est en réalité le reflet des peurs d’un déséquilibre intérieur. Ce qui attire mon attention n’est pas le personnage en lui-même mais plutôt son environnement (sa réalité) ou il trace son quotidien. De ce fait ce qu’on fait traduit ce qu’on pense.

Romuald Le Bris

La peinture de Romuald Le Bris explore les pistes d’abstraction du réel. Son travail vient bouleverser la définition même de l’art abstrait qu’en avait fait Michel Ragon :

« J’appelle art abstrait tout art qui ne contient aucun rappel, aucune évocation de la réalité observée, que cette réalité soit, ou ne soit pas le point de départ de l’artiste. »

Il décompose les lignes d’un monde matériel et survolté et bruyant et s’en sert pour tisser des toiles qui surprennent, fascinent, invitent à la méditation et au retour au calme. Les formes s’entremêlent, les textures apparaissent, plus ou moins profondes, les couleurs jaillissent par moments, dans une recherche permanente de dialogue esthétique et de symbiose avec son art.

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L’artiste propose des ateliers d’arts plastiques pendant lesquels il partage avec ses élèves les recettes et les techniques qu’il expérimente chaque jour dans son atelier (renseignements au 06 06 43 52 71).

Laure Florençon

Née le 14/07/76
Professeur Agrégée d’Arts plastiques en collège et à la fac d’Arts plastiques.
Peintre de formation, je viens m’exercer au dessin anatomique dans l’atelier pour faire mes gammes. J’utilise diverses techniques telles que la mine de plomb, l’encre, l’aquarelle que je mixe parfois entre elles. C’est bien souvent l’anatomie propre du modèle qui m’impose une technique adéquate pour le représenter.
Par ailleurs, ces nus se sont imposés dans ma peinture récemment et les corps s’enlacent dans un entrelacs pictural à la frontière de figuration et de l’abstraction. Sorte de cartographie linéaire des corps immergés dans la masse picturale.
J’ai également une pratique photographique de poésie du quotidien, un regard particulier sur les choses qui m’entourent. J’aime relever la beauté partout où j’en décèle, révéler à ceux qui ne l’ont pas vue un instant, un détail, une matière.

Sévérino Da Silva

Energies et portraits,
Peinture : Tente de ressentir les faces cachées et les retranscrire grâce au PHOSPHORE, l’acrylique et l’huile.
Sculpture : Tente de se rapprocher d’une forme esthétique et minimale.
Aquarelle : Ouvert à de nombreuses expériences diverses.

Florence Kiss

Après avoir vécu une quinzaine d’années à l’étranger, je voyage désormais dans la musique, l’écriture et la peinture. Je peins au gré de mes impulsions de l’ethnique à l’ésotérique, du figuratif à l’abstrait. J’utilise l’huile ou l’acrylique, parfois les deux. Je n’ai pas de style particulier et me prête à toutes les expériences picturales en suivant mes inspirations du moment.