Du grand bazar à l’atelier nomade :

À la recherche d’un lieu suffisamment spacieux pour accueillir notre famille et nos passions ; nous avons eu la chance, mon conjoint et moi, de pouvoir emménager dans une grande maison à la campagne. Les dépendances permettent à loisir d’organiser des événements et de partager l’espace pour accueillir des manifestations telles que concerts ou expositions.

Mon atelier, principal point de ralliement, est pour moi un sas entre maison et annexes. Il peut être clos ou s’ouvrir largement et sert souvent de soupape. C’est un vaste capharnaüm où atterri tout ce qui peut nourrir mon imagination : revues, jouets, trophées, lettres de typographie, plastiques, couleurs de toutes natures et outils de toutes sortes… Au point qu’il devient parfois difficile d’y circuler. Arrive alors la saison du grand rangement ou de la migration vers les dépendances.

Cette diversité de lieux me permet de travailler simultanément à différents projets, la période estivale étant bien entendu plus propice aux vagabondages créatifs. Les visiteurs pourront découvrir à loisir l’atelier et les dépendances, tout en profitant du jardin.