Francis Porché

Artiste photographe autodidacte, je fais de la photo depuis mon enfance. L’image et tout particulièrement le message véhiculé par celle-ci m’a toujours passionné ; se traduisant d’abord par la photo puis la peinture pour revenir à la photo de façon plus sérieuse. Je me suis mis récemment à créer mon entreprise en temps qu’auto-entrepreneur.
Ma recherche artistique se porte sur le thème de l’effacement progressif de l’individualité au profit du matériel pour le compte d’un nombre restreint de décideurs…
La valeur humaine dans nos sociétés ne cessent de décroître, c’est pourquoi j’essaie par ce travail de mettre en image et de dénoncer ce mal croissant écrasant l’être humain…
Mais mes images parlent aussi de cet instant passé qui caractérise la photo, ce présent au moment de la prise photographique qui devient passé gravé pour l’éternité sur du papier, ainsi que de notre disparition et des traces que nous laissons derrière nous…
Bref mes photos parlent de tout ce que votre regard et vos pensées glanerons sur elles….

Vincent Vinspi

Vinspi est un petit mec né en 1986 à Strasbourg. Ce n’est que vers les 22 ans que ses préoccupations l’ont conduit vers l’expérience artistique. Et c’est une bombe de peinture à la main qu’il a commencé. Au début le graffiti devint quasi obsessionnel. Ce n’est qu’ à partir de 1 an de pratique du graff qu’il a tenté d’agrandir ou de tourner sa pratique vers la peinture sur toile. Convaincu de ses intérêts pour la création graphique et picturale, il se lance et reprend ses études, stoppées 4 années plus tôt. Il entre en 2010 à l’École des Beaux Arts de Mulhouse, aujourd’hui intégrante de la HEAR.
Dans son dernier cycle d’études il abandonne la création purement picturale pour se consacrer à l’intervention artistique et plastique dans l’espace public. C’est avec l’énergie et l’ambition du graffiti qu’il intervient dans l’espace public en réalisant des pièces in situ ou in visu qui relate de ses ressentis sociétaux.

Camille Schléret

Mon travail…
Après m’être intéressée aux monde du textile, du vêtement et de sa mise en
oeuvre et plus spécifiquement de l’ennoblissement textile avec la broderie et
la teinture, je me tourne vers l’univers de la céramique et du dessin, que
j’explore actuellement.
Je dessine et modèle la terre de façon très intuitive, souvent sans idée
préconçue, et toujours habitée par des thèmes reliés au monde végétal, aux
déesses de la fertilité, et au monde animal, en particulier celui des cétacés.
Dans mes dessins, je m’occupe plus particulièrement des motifs que je trace
au stylo très fin et qui viennent enrichir des contours, parfois aléatoires,
parfois précis comme une silhouette animale ; je dessine toujours un visage
de femme, qui occupe la place centrale du dessin et qui va orienter le reste…
Je m’inspire des miniatures persanes, de dessin didactiques d’insectes, de
motifs floraux. Récemment, je me suis intéressée aux moyens de
reproduction de mes dessin, par la sérigraphie notamment.
Pour les sculptures, où s’entremêlent souvent un corps de femme et un
arbre, je m’inspire de la symbolique des contes, de la mythologie inuite et
amérindienne, des représentations de déesses de la fertilité… Les corps sont
représentés de manière figurative et le végétal est davantage stylisé, j’y
imprime des traces, des motifs, souvent avec des dentelles anciennes ou des
pierres de lave. J’émaille avec des oxydes, laissant les surfaces mates, avec
des touches de couleurs ou de brillances à certains endroits

Dominiczak Marine

Marine oriente fondamentalement son travail du métal sur le corps, sur les relations qu’il entretient avec son environnement matériel ainsi que sur sa perception au sein de la société. Les notions de normes, de beauté et d’apparence sont au centre de sa réflexion.
Elle observe attentivement les sujets de son étude et collabore avec ces derniers pour en tirer diverses captations qu’elle conserve comme matière première de sa recherche.
De l’interprétation sculpturale, à l’objet performatif, à porter ou à contempler,en passant par le bijou, son travail témoigne naturellement de préoccupations liées au corps contraint, à la quotidienneté et aux habitudes qui en découlent, à une certaine forme de servitude volontaire que l’on peut y déceler.

Laurent Kohler

Je dessine depuis toujours, et intensivement depuis 30 ans. Je classe, je nomme, j’archive. Ce sont quelques thématiques qui se sont établies « naturellement » au gré des captations par le dessin de moments, lieux, situations et autres « transports ».

En statistique cela fait : 36426 dessins répartis dans 2034 Dossiers et sous Dossiers (soit environ 299 GO)

Les grands thèmes seraient : Architectures (ou « topoésie ») ; Les milles vues de la Cathédrale ; Transports (en commun, surtout : tram, bus, train…) ; Animaux (aimés, croisés, caressés souvent) ; Portraits ; Spectacles (danse, musique, théâtre…) ; « le sujet qui vaille » ; Nature morte ; En marchant (sans s‘arrêter ! qui donne un trait très particulier) ; Copies (dans les musées) ; Café-terrasses ; A la caisse ; En attendant la pizza…

Le Tremplin (association)

Association le tremplin:
Pauline: peinture et création de bijoux.
KroKlis: Illustratrice.
Duchesse Heim: Création à base de végétaux et de produits récup’.

Jennifer Roberts

Jennifer Roberts travaille le textile, et notamment le tulle, matière onirique par excellence, sous trois aspects:
– Elle réalise ainsi des robes aériennes et vitaminées, faisant écho aux rêves de notre enfant intérieur (Vaste choix de coloris disponibles. Pour adulte et enfant).
– Elle a aussi développé un concept original de luminaire autour de son matériau fétiche.
– Enfin, elle réalise des sculptures ou installations en tulle.

Arnaud Dieterlen

Mon travail donne à voir une succession de fractures immédiatement
identifiables. Il raconte des histoires qui s’établissent toujours dans un
passé présent personnel. Il développe mes ressentiments obsessionnels
et le brouillard expérimental d’un espace temps visuel et ambigu.
Il s’agit d’embrasser la performance illégitime de l’oeuvre, à la lisière
des limites mythologiques, dans cette quête sans fin de justice picturale
et sans complexes.
Silhouettes imaginaires qui s’emparent de ces excès d’immobilité.

Unlucky, manque de bol…

David Mey

Avec le temps, j’ai découvert un effet pictural unique. Cette nouvelle technique à base de mélange d’essences naturelles de bois donnent un second souffle aux meubles anciens ou plus récents, ou sur différents supports existants.

Pour les luminaires, je joue avec la transparence et la finesse du placage pour donner un ambiance chaleureuse dans la pièce.

Sylvie Kromer

Biographie

“Souvent, je pars dans des voyages immobiles. Loin.
Armée de mes crayons et pinceaux, j’avance à tâtons dans un labyrinthe de couleurs et de végétation étonnante. Les créatures que j’y rencontre sont des petites filles tristes mais courageuses, des dragons étincelants, des ours polaires, des oiseaux magiques…, et il me tarde toujours de croiser la route d’autres personnages encore plus insolites ! ”