Marceau Pensato

Etudiant à l’ESAL de Metz en 2ème année option communication.

Comment, inconsciemment notre mémoire collective ou personnelle, influe sur nos expériences et nos souvenirs ?

La construction, la récurrence, la destruction, jusqu’à effacement : j’expérimente par le dessin ou l’installation ces étapes qui nous construisent ou nous détruisent.

Parc Grüber – La Coterie, Lucia Fiore

Dans mon atelier strasbourgeois, La Coterie, j’exerce un métier à la croisée de l’artisanat et des arts plastiques, alliant les techniques anciennes de la plumasserie à un désir d’exploration et de recherche formelle. Mes créations prennent la forme de petites séries de bijoux, de tableaux et de sculptures, dans lesquels la plume ne se réduit pas à de l’ornement, mais devient le sujet central. Les qualités visuelles de ce matériau, la richesse de ses couleurs et de ses reflets, s’expriment à travers des compositions inspirées par la nature, les arts traditionnels et le minimalisme géométrique.

Guillaume Pinard

Le travail de Guillaume Pinard prend des formes très variées qui lui permettent de questionner différents formats et un rapport au temps décalé. Certaines de ses réalisations réclament de la lenteur, d’autres exigent une pulsion exaltée, compulsive, une réalisation au poing. L’ensemble organise un voyage à travers la peinture et les images dans un convoi d’associations, de liens et de signes. L’artiste effectue sans cesse des allers-retours entre son atelier, lieu de gestation de l’oeuvre et de son geste fondateur, le dessin, et son bureau où s’élaborent les pistes de recherches et les prospections hasardeuses via internet, les archives, les livres. C’est à partir de ses intérêts pour les encyclopédies, la bande dessinée, le dessin animé, les correspondances, la peinture que l’artiste met en mouvement – au fil d’installations – les bribes d’une narration, les articulations d’un monde éclaté.

Emma Perrochon

Emma Perrochon, *1987 à Auxerre
Après un cursus en école supérieure d’art (ENSA Dijon), elle poursuit ses recherches en sculpture en suivant la formation post-grade en recherche en céramique contemporaine à la haute école d’art de Genève. C’est à partir de l’apprentissage de cette technique qu’elle va articuler ses réflexions sur l’art et l’artisanat: depuis, elle ne cesse d’interroger avec amusement les supposées frontières entre ces domaines, requestionne le sens de la forme. Les objets du quotidien, bien que familiers, demeurent pour elle des énigmes dont le sens reste à comprendre, à trouver.

Sacha Pelletier

Issue du milieu de la récup et du réemploi vélo, j’ai commencé à travailler sur le thème du bestiaire, pour m’ en éloigner et me rapprocher des robots.
j’ ai toujours eu une attirance pour la biomécanique et la science fiction au cinéma. Et les pièces de vélo, grasses et cassées, offrent une apparence organique qui collent parfaitement à l’ imaginaire japonais et américain de la SF (la guerre des mondes, Alien, Robocop, War Hammer…).
En parallèle, ces mêmes pièces, une fois nettoyées et assemblées, peuvent servir à autre chose: lampe, miroir, dévidoirs à papier toilette ou autre cendriers.
Puis les lapins. Ne me demandez pas pourquoi, mais j’adore mettre des mâchoires au plus mignon des animaux. J’ai regardé un jour Donnie Darko, je n’ai rien compris mais j’ai aimé frank le lapin.

Cath’

Le travail de Catherine Pulvermuller questionne le temps et l’espace. Les repères et la perte de repères sont importants dans son oeuvre.

Découverte comme jeune talent 2013 et récompensée du prix « Théophile Schuler » à l’exposition de St’ART de Strasbourg avec l’exposition de ses œuvres.

Compose dans son propre atelier au centre ville de Strasbourg.

Travaux minutieux mêlant graphisme et illustration, et plus récemment peinture à l’huile.

Catherine PICARD

ART PYXIDAIRE – Je mets en boîte des scènes de vie de manière un peu décalée et humoristique. Pas sérieux…… n’hésitez pas !