Vladimir Mitrev

THROWING DIAMONDS ist eine Tätigkeit, die in dem Computerspiel Minecraft den vermögendsten Spielern vorbehalten ist. Minecraft, ursprünglich von dem schwedischen Programmierer Markus „Notch“ Persson entwickelt und 2014 für 2,5 Milliarden US-Dollar an Microsoft verkauft, ist in den vergangenen 2 Jahren auch in Deutschland zu einem der erfolgreichsten Spiele geworden, nicht zuletzt geschuldet dem Austausch des schulischen Klassenzimmers gegen den heimischen PC-Bildschirm. Vladimir Mitrev hat die intensive Beschäftigung seines Sohnes mit dem Spiel als Inspirationsquelle seiner Kunst genutzt und zeigt neben großformatiger Malerei eine Video-Arbeit, die das Thema mit der künstlerischen Arbeit verbinden. Er wirft dabei nicht mit virtuellen Spiel-Diamanten, sondern mit reellen Diamanten der Kunst um sich. (Marek Kralewski, https://www.g19i.de/de)

Nargez Mirnezhad

Je suis née à Mashhad, en Iran, en 1985. Depuis 2018, je vis , étudie et travaille à Strasbourg.

C’est dans la vie quotidienne que je trouve l’inspiration. Mes dessins, peintures, gravures et vidéos y font références d’une manière ou d’une autre. Ce sont des vies empruntes d’une solitude parfois tragique, de désespoir, d’absence d’avenir, que je représente. Ces situations je les puise tant dans la culture occidentale que dans celle orientale. Solitude et désespoir sont universels !

Durant le confinement, reléguée dans l’espace étroit de ma chambre d’étudiante, le lit s’offrait à mon regard presque incessant, lorsqu’il n’était pas mon refuge. Il est devenu, dès lors, le sujet principal de mes toiles. Les draps défaits sculptés par la lumière, sont les arabesques de cette solitude obligée dans une architecture vide. Des nuances subtiles de gris lumineux, des couleurs douces mais froides obtenues par le mélange des bleus glacés avec leur complémentaire orangée, des contrastes, des combinaisons avec de brèves incursions de couleurs parachèvent l’atmosphère.

Le choix de la peinture à l’huile n’est pas anodin, il concourt à mon sens à un style expressif.

Symboles féminins et des allégories s’installent dans mes toiles. En 2011, j’ai réalisé des natures mortes peuplées de chaussures, tant féminines que masculines. Cette collection, fruit de mes émotions, reflétait « La société aux pieds nus », titre de la première de mes expositions personnelles.

Mon histoire de femme marquée par la culture perse reste prégnante.

Léo Maurel

Léo Maurel est luthier inventeur, vit et travaille à Dangolsheim près de Strasbourg depuis 2010. Il invente, fabrique et commercialise de nouveaux instruments, joués par de nombreux musiciens expérimentant dans les domaines du son continu et de l’héritage des musiques électroniques, tels que Erik M, Yann Gourdon, Tarek Atoui, Stephen O’Malley, Oiseau Tempête, Ensemble Recherche, Hanatsu Miroir, etc. Ses dernières recherches gravitent dans l’univers des orgues. En tant que musicien, il joue dans l’ensemble Pancrace sur des orgues d’église et sur l’Organous, orgue poulpe initialement dimensionné pour les besoins du groupe mais qui servira dans bien d’autres projets. De 2012 à 2018, il a été en charge de l’atelier de lutherie modeste du CFMI de Sélestat (Centre de Formation des Musiciens Intervenants). En 2019, il créé l’ARPFIC (Association pour la Recherche et la Promotion d’une Facture Instrumentale peu Commune), afin de constituer un parc d’instruments prototypes, mis à disposition des musiciens et autres utilisateurs.Léo Maurel est luthier inventeur, vit et travaille à Dangolsheim près de Strasbourg depuis 2010. Il invente, fabrique et commercialise de nouveaux instruments, joués par de nombreux musiciens expérimentant dans les domaines du son continu et de l’héritage des musiques électroniques, tels que Erik M, Yann Gourdon, Tarek Atoui, Stephen O’Malley, Oiseau Tempête, Ensemble Recherche, Hanatsu Miroir, etc. Ses dernières recherches gravitent dans l’univers des orgues. En tant que musicien, il joue dans l’ensemble Pancrace sur des orgues d’église et sur l’Organous, orgue poulpe initialement dimensionné pour les besoins du groupe mais qui servira dans bien d’autres projets. De 2012 à 2018, il a été en charge de l’atelier de lutherie modeste du CFMI de Sélestat (Centre de Formation des Musiciens Intervenants). En 2019, il créé l’ARPFIC (Association pour la Recherche et la Promotion d’une Facture Instrumentale peu Commune), afin de constituer un parc d’instruments prototypes, mis à disposition des musiciens et autres utilisateurs.

Léa Munsch

Fascinée par le potentiel de la terre et les savoirs millénaires qui l’entourent, Léa Munsch explore ce matériau avec curiosité et instinct. Elle aime s’inspirer de ce que nous donne la nature. Elle travaille principalement la terre brute, à la recherche des textures, des couleurs et des qualités inhérentes à la matière. Dans son atelier, émerge un langage de formes sans âge, des sculptures à la croisée de l’art et de l’architecture. Tel un travail archéologique qui brouille les lignes du temps, ses sculptures semblent surgir d’un futur ancien. Dans sa pratique, elle cultive l’écoute de l’instinct et s’en nourrit pour donner forme à un monde abstrait, architectural, brut, texturé, naturel.

Léa Munsch

En 2018, Léa Munsch s’est installée au bord d’une rivière, dans une ancienne usine entourée de forêts. Une ancienne usine d’agrafes. Un bâtiment industriel brut avec un grand potentiel de transformation. Léa Munsch a investi l’ancien vestiaire ainsi que le réfectoire des employés pour en faire son lieu de création. Pensé comme un temple, un lieu de création comme lieu de vie. La lumière et les couleurs sont importantes. Grand aplat invoquant le couché de soleil, arche en trompe l’œil et éléments graphiques en référence aux temples antiques égyptiens.
C’est aussi un lieu de calme, pour penser, méditer, laisser les idées faire surface accompagnées du son de la nature environnante ; le courant de la rivière, les bateaux de plaisance voguant sur le canal de la Marne au Rhin, le vent dans les arbres.

Munoz Pinto

L’atelier se trouve au 1 étage d’un bâtiment appelé Zone d’Art qui regroupe plusieurs artistes.
Né en 1960 à Valparaiso (Chili), PINTO travaille divers matériaux, il marie les éléments de récupération, le bois, le métal, le cuir, la pierre et à partir de là, la fusion mystérieuse se produit, l’énigme de la création investit l’espace. Un dialogue s’instaure avec la matière. Cette matière que l’on croit inerte est bien vivante, il faut savoir l’écouter, lui parler, la comprendre, établir un climat de confiance avant de la soumettre à la forme, il faut en faire sa complice. Toute la subtilité de l’art est ici de transposer l’invisible. Le secret est de partir de l’ordinaire pour aller vers la beauté sublimée. Il faut aussi savoir donner aux œuvres les plus beaux effets de patine, ce qui est tout un savoir presque hermétique, magique, initiatique. La poésie est toujours très présente dans l’œuvre de PINTO, mais ce sont le plus souvent les poèmes de Pablo Neruda qui l’accompagnent, qui l’inspirent qui lui permettent de transcender sa matière. Pour PINTO la poésie est l’art premier, celui qui inspire et d’où d’écoulent toutes les autres formes de créations

motoco

Les ateliers de Motoco seront ouverts uniquement les 24 et 25 mai.

Nous vous remercions de votre compréhension, et nous réjouissons de vous retrouver lors de ce second week-end des Ateliers Ouverts.

 

motoco (MOre TO COme) c’est 8500m2 de brique chaude et mate, une ruche avec des artistes et artisans d’art qui y bossent et parfois piquent, sept actionnaires sérieux-mais-pas-que, deux passionnés qui dirigent en équilibristes ubiquistes, des collectivités locales qui protègent, beaucoup d’amour, des torgnoles, de la force brute et surtout une mégatonne d’énergies et de talents rassemblés. motoco est géré par la SAS motoco&co, et compte une dizaine de nationalités (30 % d’étrangers), un incubateur géré par la HEAR (Haute école des Arts du Rhin), des résidents étrangers de passage gérés par La Kunsthalle, un pôle image, un atelier de sérigraphie et un pôle céramique en construction, un studio d’enregistrement et deux grands espaces dédiés à l’événementiel. Laurence Mellinger

M33

Un espace unique: Installées dans un bâtiment industriel historique, les anciennes usines Junkers regroupaient un ensemble de bancs d’essai pour moteurs d’avion durant la seconde guerre mondiale. L’atelier M33 y dispose d’un espace unique, fonctionnel et modulaire, héritage de l’influence Bauhaus de l’édifice. Avec 290 mètres carrés modulables, des murs en brique alvéolaires assurant une insonorisation optimale et des équipements intégralement modulaires, ce lieu de création interdisciplinaire se compose de: – deux open-space dont une mezzanine baignée de lumière naturelle – d’espaces artistes privatifs – d’un studio photo-vidéo – d’une salle de réunion et de formation – d’un espace de création et d’exposition Un esprit collaboratif: Pensé dès sa création en 2014 par Armelle Boussidan et Paola Guigou comme un espace de coworking, l’atelier M33 doit aussi son nom de baptême à la galaxie scintillante éponyme. En mouvement permanent, l’atelier se conçoit comme un lieu d’échange, d’interaction et d’expérimentation autour de l’image sous toutes ses formes. Les artistes y sont indépendants mais l’énergie résolument collective. Fidèle à cet esprit d’ouverture, l’équipe y développe des workshops pour transmettre ses savoirs et faire du lieu un véritable pôle dédié aux arts visuels. L’atelier mutualise également depuis 2019 des espaces avec Brik’Ado, antenne créative de la Maison des Ados. Les objectifs de cette mise en commun des espacent se tournent vers la création, l’accompagnement et la valorisation de la production de son public par le biais d’ateliers pédagogiques. Les ateliers de médiation sont co-construits et encadrés par des professionnels du médico-social et d’artistes. Un vivier de compétences: Photographie, vidéo, maquillage et SFX, graphisme, sérigraphie, motion design, illustration, couture, communication: L’Atelier M33 propose une large gamme de ressources. La mutualisation des ressources matérielles et humaines permet d’apporter une solution globale aux projets, qu’ils soient à portée sociale ou artistiques. L’atelier peut également être mis à disposition pour des expositions, formation et résidences.

Montanaro Falcone

Atelier Mulhouse entrée côté cour rue de la Mertzau. C’est un lieu de travail, d’exposition mais c’est avant tout un lieu qui laisse place à la création.

Michel Schwebel

L’atelier de Michel Schwebel, sis sur la commune de Brunstatt au 9B rue de l’Ill, a été inauguré en mai 2017. Un déménagement vers un espace plus grand, plus clair et offrant une meilleure visibilité pour exposer mon travail, s’imposait. J’ai trouvé dans ce lieu sis dans une zone artisanale un confort de travail et de réflexion. L’atelier est habité par les toiles qui ponctuent de nombreuses années de création. Accrochées aux murs ici et là ou rangées le long du mur elles attendent le visiteur… Le travail en cours, lui, est posé sur le chevalet…les brosses et les couleurs ne demandent qu’à entrer en action. L’atelier permet d’accueillir des apprenants soucieux d’acquérir des notions, de se familiariser avec la peinture à l’huile, et d’engager un travail. Proche de Mulhouse et de son arrêt de Tram Université il dispose d’un parking.