Sylvie Issenlor

Elève de Claude Flash dans les années 90, c’est là que s’est déclenché réellement la mise en œuvre de la plus part de ses formes actuelles. Peintre coloriste, Sylvie Issenlor excelle dans la féminité dans toutes ses formes, les natures mortes, etc…
Yvette Maniglier, dernières élève d’Henri Matisse, apprécie ses travaux, l’encourage à continuer sur cette voie, et lui conseille de rester plus évasive sur les visages. Depuis quelques années, elle rajoute à ses cordes des réalisations en céramique avec laquelle elle se trouve en osmose.
Sylvie Issenlor c’est une artiste complète qui s’investie pleinement dans ses créations. Elle tente à travers sa générosité, d’y donner une âme, une sensibilité.

Issenlor’s

Cet atelier m’est consacré pour les réalisations ainsi que l’extérieurs avec des bâtiments attenants, ainsi que la surface extérieur de 25 ares, consacrée à l’exposition des œuvres.

L’Image écrite

Images et mots

L’atelier “l’Image Écrite » est un lieu qui relie image et mots. Un lieu où les images  prennent vie en peinture à l’huile sur des toiles en lin et susurrent à l’oreille de l’artiste peintre Géraldine des mots, des textes, des poèmes.

Le nom de l’image écrite est apparu  au fil de l’eau lors d’un voyage d’une année sur un bateau. Ce nom est arrivé comme une conviction, comme une intuition forte. Une peinture, un tableau est comme une image qui raconte, qui parle et qui s’écrit. La peinture est comme une écriture imagée.

L’atelier sur le terrain

L’atelier situé à Hochstatt, proche de Mulhouse,  est récemment  installé en 2021. Il se trouve au rez-de-chaussée du lieu de vie de l’artiste et de sa famille. Un lieu proche de la nature, sans cesse en renouvellement, évolution et  transformation. L’artiste  goûte et savoure, jour après jour, cet environnement en mouvement et peut s’en inspirer, apprendre et ainsi créer.

Maxime Ivanez

Originaire du quartier de Gerland à Lyon, Maxime Ivanez commence à dessiner pour ne pas s’ennuyer, jusqu’à ses 15 ans où il fait connaissance avec le graffiti. S’en suivent une dizaine d’années de peintures et de fresques , le conduisant naturellement vers une école de peintre muraliste, la première en France, située à Oullins (69) . Son univers est inspiré de la forêt de bâtiments plus ou moins vieux que l’on retrouvent dans les quartiers comme st just, le vieux lyon . Les projets s’enchaînent différemment allant de la peinture monumentale, au travail en atelier sur toile, ou encore l’illustration.

Imagora

« Imagora-Photo » est un collectif photo ayant pour objet de regrouper les personnes disposant déjà d’un socle de connaissances en matière de photographie artistique et désireuses de se perfectionner dans leur art, dans un esprit d’amitié et de camaraderie.Le collectif dispose d’un studio au fort Kleber à Wolfisheim, qui permet de travailler ses propres projets, ou de partager des actions communes.

Sophie Irwin (Atelier Kylix)

Née en 1995 à Londres, c’est en France que Sophie Irwin s’initie à la céramique. Pendant six ans d’études, elle se spécialise dans les matières telles que les émaux et la porcelaine avant d’intégrer les Beaux Arts de Limoges. Sa pratique naît de l’idée d’excroissance et de végétalité du matériau brut. Avec l’intégration des matières dans la terre et la conception d’objets du quotidien à travers une pratique expérimentale, elle cherche la rencontre entre métal et céramique pour explorer les limites physiques des deux matériaux. Après un apprentissage des techniques anciennes dans la poterie Ravel, Sophie s’installe à Strasbourg où elle exerce depuis 2020, sous le nom d’Atelier Kylix. Cofondatrice de l’association Wärma, elle collabore régulièrement à des projets scénographiques et à la conception de pièces uniques, pour des particuliers et des institutions artistiques.

Diana Ianakieva

En parallèle de son métier d’architecte, sa pratique artistique gravite principalement autour de la photographie, de la gravure et de la vidéo. Les principaux thèmes de ses réalisations sont basés sur une recherche et une expérimentation par la gravure qui tentent plus particulièrement d’explorer le vide qui anime la matière, de chercher une tonalité générale pour faire ressortir des matérialités, d’explorer les fonds pour créer une atmosphère et mettre en valeur leur contenu, d’explorer l’empreinte, la trace sans vouloir les définir ou chercher une finalité. Aussi, par la photographie, elle tente de composer des cadrages avec des matières et des végétaux, de capturer des moments de vie des autres, des coins et recoins urbains pour explorer au hasard des histoires et compositions abstraites qui se présentent à nous. Par les vidéos elle essaie d’attraper des moments du quotidien, spontanés et innocents, laissant la perception par leur transformation « libre et ouverte ». Sa pratique artistique est nourrie en grande partie par le processus de création en lui-même, basé sur l’intuition et d’une certaine manière sur l’innocence de la création d’une œuvre, en laissant place à l’inattendu. Par ses travaux artistiques, elle tente d’explorer l’imaginaire pour traiter l’irréel afin de composer des espaces-temps où l’irréel laisse place à la rêverie, à l’errance. Il est ainsi question d’explorer à l’aveugle, en faisant confiance à l’intuition, les contradictions, les accidents et les doutes afin de révéler une autre réalité, la sienne. Gravitant autour du primaire et de l’innocence, sa démarche touche au réapprentissage et renvoie de manière analogique à l’infans, « l’enfant à l’esprit inachevé, sur la collecte systématique et sur le postulat de la possibilité de la découverte émerveillée » .

La spontanéité et l’expression libre sont mises à l’épreuve car il n’y a rien d’immédiat. L’émotion ou l’impulsion sont là quelque part en attente pour devenir lentement, par l’exploration et la transmission, une matière affective. Ces sensations intimes font naître et constituent une histoire particulière, racontée à un moment singulier afin de devenir un récit sous une forme imaginaire et bâtie.

Îlot

L’Îlot à accueilli diverses personnalités et pratiques au cours des dernières années. Aujourd’hui, ce sont 3 artistes-artisanes qui font vivre l’atelier niché au cœur de la Krutenau. Établis, pinceaux, billots, crayons, papiers, limes, aquarelle et plantes vertes cohabitent dans cet espace chaleureux baigné par la chaleur du thé ou du soleil selon la saison.L’atelier ouvre ses portes sur rendez-vous pour des initiations lors desquelles Charlotte et Yvanne partagent leur sensibilité à travers leur pratique de la bijouterie. Valérie de son côté, dessine et peint le vivant avec une attention particulière portée au détail, à la couleur et au trait.Pour l’édition 2023 des Ateliers Ouverts, L’Îlot invite deux artistes dont les œuvres tissent des liens entre les pratiques de chacun. La photographie de Jérôme attire notre regard sur le petit, le fragile, la poésie et la part de rêve qui se cache dans les détails. Pauline réalise des sculptures en papier d’une grande finesse sur le thème du cabinet de curiosités.Cette année l’atelier réunit cinq artistes qui s’expriment à travers des formes et des techniques minutieuses, précises, attentives. Cinq artistes qui se réjouissent d’ouvrir les portes de leurs univers.

In Extremis

Association IN EXTREMIS Situé au 27 rue sainte Madeleine, l’espace d’exposition IN EXTREMIS est un Atelier à la forme particulière : c’est l’atelier d’une collection et non un atelier d’artistes au sens strict du terme. Depuis plus de 30 ans, le lieu permet à l’association In Extremis de présenter à l’occasion d’expositions temporaires les œuvres d’artistes figurant dans la collection de photographies de la collectionneuse strasbourgeoise Madeleine MILLOT-DURRENBERGER. Pour la collectionneuse, la « cave » de la rue sainte Madeleine est un lieu propice pour proposer à un large public de partager avec elle non seulement les richesses de sa collection mais surtout ses émotions de collectionneuse, ses découvertes, l’importance de ses relations directes et personnelles avec la plupart des artistes figurant dans sa collection. Par le biais d’expositions parfois thématiques, parfois monographiques, Madeleine, soutenue par ses amis de l’association In Extremis, partage sa connaissance et ses choix en matière de photographie (principalement contemporaine). Pour réellement partager au mieux sa passion, Madeleine assure elle-même des « visites guidées » à l’occasion de chaque exposition, répondant à toutes les questions. Bien souvent, quand cela est possible, elle invite les artistes qu’elle expose à venir sur place rencontrer le public ; d’autres fois, signatures de livres d’artistes, lectures, performance chorégraphique accompagnent les expositions.

 

In Extremis participe à chaque nouvelle édition des Ateliers Ouverts depuis 2010 en organisant une exposition collective issue de la collection avec dizaine de photographes. Ils seront présents lors des deux week-ends.