Bienvenue au Studio Zone Libre, un studio d’enregistrement professionnel situé dans la ville de Mulhouse, plus précisément dans le bâtiment Motoco. Depuis notre création en 2006, nous nous sommes engagés à offrir des installations d’enregistrement de haute qualité et des services adaptés à tous les artistes, qu’ils soient émergents ou établis.
Notre studio est équipé de toutes les technologies modernes pour garantir une qualité sonore irréprochable. Que vous soyez un chanteur, un musicien ou un comédien, nous pouvons enregistrer votre voix sur des playbacks, des publicités, des doublages ou des voix off, afin de réaliser des projets de qualité professionnelle. Nous sommes également capables de réaliser différents types de mixages, adaptés à vos exigences et à vos contraintes.
Nous sommes fiers d’avoir travaillé avec de nombreux artistes de la scène mulhousienne et d’ailleurs. Nous avons notamment eu le plaisir d’accueillir plusieurs fois Claudio Capéo et sa troupe pour des temps de résidence artistique. Nous sommes également impliqués dans l’organisation de nombreux concerts et festivals de musique et productions musicales.
Notre engagement envers la qualité est la base de tout ce que nous faisons. Nous avons optimisé tous les aspects de notre studio, de la cabine à la qualité des microphones, du câblage, des préamplis et des convertisseurs, afin d’obtenir les meilleurs rendus sonores possibles.
En plus de notre studio d’enregistrement, nous proposons également une salle de répétition, ainsi qu’un service de montage vidéo pour accompagner les artistes dans toutes les étapes de leur développement.
Chez Zone Libre, nous nous engageons à fournir à nos clients des services de qualité professionnelle. Si vous êtes à la recherche d’un studio d’enregistrement de confiance pour réaliser votre projet, nous serons ravis de vous aider.
Les recherches de Stéphane Clor questionnent l’écoute de notre environnement proche. L’artiste en révèle les détails pour les signifier sur d’autres échelles, proposant une relecture des lieux, des interactions et des mémoires. Sa pratique croise ainsi les domaines des arts sonores, de la cartographie, du dessin, de la photographie et de l’écologie, tout en étant indissociable de son travail musical comme improvisateur, compositeur et violoncelliste.
Léo Maurel est luthier inventeur, vit et travaille à Dangolsheim près de Strasbourg depuis 2010. Il invente, fabrique et commercialise de nouveaux instruments, joués par de nombreux musiciens expérimentant dans les domaines du son continu et de l’héritage des musiques électroniques, tels que Erik M, Yann Gourdon, Tarek Atoui, Stephen O’Malley, Oiseau Tempête, Ensemble Recherche, Hanatsu Miroir, etc. Ses dernières recherches gravitent dans l’univers des orgues. En tant que musicien, il joue dans l’ensemble Pancrace sur des orgues d’église et sur l’Organous, orgue poulpe initialement dimensionné pour les besoins du groupe mais qui servira dans bien d’autres projets. De 2012 à 2018, il a été en charge de l’atelier de lutherie modeste du CFMI de Sélestat (Centre de Formation des Musiciens Intervenants). En 2019, il créé l’ARPFIC (Association pour la Recherche et la Promotion d’une Facture Instrumentale peu Commune), afin de constituer un parc d’instruments prototypes, mis à disposition des musiciens et autres utilisateurs.Léo Maurel est luthier inventeur, vit et travaille à Dangolsheim près de Strasbourg depuis 2010. Il invente, fabrique et commercialise de nouveaux instruments, joués par de nombreux musiciens expérimentant dans les domaines du son continu et de l’héritage des musiques électroniques, tels que Erik M, Yann Gourdon, Tarek Atoui, Stephen O’Malley, Oiseau Tempête, Ensemble Recherche, Hanatsu Miroir, etc. Ses dernières recherches gravitent dans l’univers des orgues. En tant que musicien, il joue dans l’ensemble Pancrace sur des orgues d’église et sur l’Organous, orgue poulpe initialement dimensionné pour les besoins du groupe mais qui servira dans bien d’autres projets. De 2012 à 2018, il a été en charge de l’atelier de lutherie modeste du CFMI de Sélestat (Centre de Formation des Musiciens Intervenants). En 2019, il créé l’ARPFIC (Association pour la Recherche et la Promotion d’une Facture Instrumentale peu Commune), afin de constituer un parc d’instruments prototypes, mis à disposition des musiciens et autres utilisateurs.
Nikita, artiste globe-trotter. Nikita est née en Allemagne de formation thérapeute elle est installée en France à Strasbourg depuis quelques années. On la surnomme citoyenne du monde car elle se bat pour la liberté d’expression, les droits humains. Nikita utilise dans ses œuvres, depuis de nombreuses années, la poésie, la peinture, la musique et la photographie. Elle invite le spectateur à voyager dans ses réflexions et pensées profondes. Passionnée d’histoires d’amour, poétiques et littéraires, elle prend plaisir à conter et mettre en scène des songes et rêveries avec des interludes musicales , en interaction avec son public. Site web : www.artistenikita.com , Facebook, Instagram
Je crois que tout a commencé enfant déjà. J’ai toujours eu du mal a comprendre ce qui m’entourait et, pour parer la peur qui parfois m’envahissait de ne pas comprendre, j’ai développé une technique que je qualifierai de technique d’appropriation. J’ai commencé rapidement à me servir des objets et des matières que je trouvais autour de moi et à les transformer. Je travaille encore comme ça. Je cherche, dans les choses que je transforme, des réponses à mes multiples questions sur le monde. Quête de sens et transcendance, ma pratique se décline en différents médias . J’aime, pour chaque période de création et en fonction des questions qui m’animent, définir un rituel spécifique. Je travaille essentiellement dans un mode de production sériel. La répétition, comme une formule magique, a des pouvoirs. Je ne cesserai jamais d’alimenter cette curiosité qui depuis petite me porte et m’emporte. Je suis une exploratrice.
À l’affut de signaux (visuels, sonores) et de flux pré-existants dans les territoires qu’il parcourt en explorateur, Thomas Lasbouygues enregistre, capte, récolte des matériaux lui servant tout autant à documenter sa propre expérience qu’à créer des dispositifs engageant la question du point de vue — et sa subjectivité intrinsèque. Si l’utilisation des technologie de captation et de transmission est récurrente dans sa pratique, c’est parce qu’elle constitue un cadre perceptif que l’artiste détourne pour mieux le questionner. Conscient que les outils d’enregistrement qu’il utilise portent en eux des représentations potentielles et des temporalités qui leur sont propres, et par là même conditionnent les images qu’ils produisent et le regard que nous portons sur celles-ci, Thomas Lasbouygues nous interpellent : que fait la multitude de ces points de vues à notre manière de concevoir et d’appréhender les images ?
À travers l’articulation de multiples opérations d’émission, de réception, d’enregistrement, de captation, de diffusion, de projection… parfois successives, parfois synchrones, la pratique expérimentale et fictionnelle de l’artiste met en lumière un rapport médiatisé aux expériences et aux images, propre à déplacer la perception du spectateur vers un ailleurs qui tient finalement plus du monde parallèle que de la contrée exotique. In fine, en prenant appui sur le réel, l’artiste investit son enregistrement comme une forme narrative voire performative, propre à faire alors émerger de nouvelles terra incognita.
Emma Cozzani
Thomas est de ces artistes qui placent l’autre, avec un grand « A » au centre de leurs travaux. Lorsqu’il produit des oeuvres dont il porte seul la réalisation (vidéo ou installation) on pourrait dire de son travail qu’il est profondément
« politique ». Ce n’est pas pour autant qu’il est dépourvu d’humour voire carrément drôle. Mais Thomas Lasbouygues est aussi quelqu’un qui aime créer des duos, des trios, des groupes de travail. Il a un sens aigu de l’organisation et du partage du travail. Un vrai « mutualiste » ! C’est l’autre versant politique qui prend en compte la nécessaire solidarité entre artistes pour qu’une génération puisse construire les outils nécessaires à son épanouissement.
Pierre Mercier
Artiste, ancien professeur de la HEAR
et Coordinateur général des études, puis de l’option art