Présentation

«Ma réalité est une usine, de transformation qui noircissent ses bouts. La violence y meurt aveugle,

puisque faire confiance à la science, c’est à la fois faire confiance au savoir orienté vers la connaissance. Mon intelligence est un calcul, au moment opportun il faut savoir se convaincre pour persuader l’autre, lui faire correspondre les apparences selon les critères admis par la correspondance, entre ce qui est dit et ce qui est fait. C’est le vrai sens de la vérité. Si vous en cherchez autre sens j’estime qu’il n’y a pas. Les intérêts, chacun y trouve le sien, çà en rajoute un autre d’un côté comme de l’autre. Il n’y a qu’un pas et s’il faut le franchir pour y trouver le sien, chacun franchira et viendra ensuite expliquer jusqu’à quel point sous les apparences, l’intelligence même un combat pacifique. Si ma résilience artistique continue d’exister sous sa forme primitive, on constate que ses principes fondamentaux se dissolvent peu à peu dans les formes normatives des politiques or la création artistique est bien loin au dessus de la politique. Pendant que les politiques cherchent perpétuellement à résoudre des problèmes des sociétés humaines, réponse « Mans succès »L’Artiste quand à lui il ouvre la porte des problèmes des sociétés entre et cohabite avec comme étant le premier collaborateur complice de la création artistique.»

 

«Je fais recours à l’art vivant pour explorer de multiples stratégies en vue de construire, puis

d’exprimer dans l’espace public, un raisonnement, pour lui qui s’affrontent à la représentation des complexités ethniques du Sud et identitaires dans le cas international. L’Art vivant m’offre des langages alternatifs qui me permet de récrire la doxa post-coloniale dans un ton pacifique pour inventer des nouveaux mondes. La performance m’ouvre de nouveaux lieux pour comparer et contester les idées reçues sur la différence culturelle. De plus en plus je construis dans un corps de performeur, en effet de véritables installations qui au delà du geste initial, continuent d’exister comme des entités autonomes. Inversement, des nombreux photographes, sculpteurs, vidéastes, voire peintres, créent des oeuvres qui peuvent être perçues comme des objets performatifs, sans forcement être utilisés comme tels. Cette utilisation du corps comme lieu de l’action, de la transgression, qui place les pratiques de l’art vivant au centre du débat contemporain sur la place organique. (La science du vivant). L’ Être.»

 

 

Parcours

Planchette à bois

Une rame de papier

Un paquet de crayon

Ventre vide, jeûne et croyances, Académie des Beaux-arts, communication visuelle.

 

Deux socles blanches, un corps beau attirant et réfléchi

Manger et boire à table est un plaisir de l’être humain pareil comme le sexe…

Se priver de manger est une réflexion de l’endurance mentale face au péril.

Performance(s), objet(s), Récit(s), Haute École des Arts du Rhin, félicitation du jury, Master 2.

 

Résister, exister, continuer et croyances.

Peinture(s), écriture(s), manifeste(s). Costume(s).

Vider mon ventre, le plus important c’est sûrement ce que j’enlève que ce que je porte.

Rituels, pratique d’atelier, très peu des présentations publiques programmées par tiers et Plusieurs expositions conçues par moi même, dans ma tête pour moi même pendant des nombreuses années. Artiste confirmé par moi même et par d’autres très proche de moi.

 

Je respire avec mon ventre vide, mon propos pacifique est dur à vendre, une collection privée de l’artiste par l’artiste.

Vingt deux ans d’atelier à voir, sur quatre configuration(s) différente(s) en quatre après midi(s)

Je suis BOTALE dit Christian de Strasbourg un rêveur qui n’a jamais cédé.