Marie Bernabel

68124 Wintzenheim

 

Dernière participation aux ateliers ouverts
2022

 

Techniques

  • Dessin
  • Gravure
  • Technique mixte

 

contact

36 rue Feldkrich

68124 Wintzenheim

ribeaumarie@gmail.com
tél : 06 02 24 18 39

 

    Présentation

    Artiste : Pierre Paul et Jacques pressant leurs jus d’éponges. Jus d’éponge : métaphore de l’inspiration découlant de l’absorption d’un monde environnant. Pierre Paul et Jacques se transforme en éponge, parfois devant les gens. Le spectateur : c’est le pote de Pierre Paul et Jacques, ils jouent ensemble aux ping pong Le ping pong : des échanges. Les échanges : sous différentes formes, ils se créent et persiste. J’aime bien les voir exposer. Exposer : c’est montrer mais il faut regarder. Pierre, Paul Jacques et leur copain vivent heureux, ils peuvent jouer du ping pong tout en dégoulinant un peu partout.

     

    Parcours

    Aillant passé mon enfance a Ribeauvillé, j’ai très jeune eu la chance de prendre part aux associations actives de cette ville, comme «interludes» qui organise des ateliers pour enfants et ados,en salle ou hors les murs. J’ai ainsi appris à adapter un atelier ou une pratique en fonction des besoins, du lieux, du public.J’ai poursuivit à la prépa d’art de Colmar où j’ai eu la chance de collaborer avec des jeunes atteints d’autisme et de troubles obsessionnels. Mon binôme, Gael et moi avions travaillés sur son intérêt pour le cycle de la vie à travers le recyclage: les objets meurent pour revivre autrement. Il s’estlassé des objets alors nous avonscontinué avec le recyclage de papier. La sensibilité était notre principal mode de communication, j’aiénormément appris de lui. A la fin de cette année de prépa, j’ai décidé de rencontrer le soleil aux Beaux Arts de Marseille, j’y ai, par la même occasion, rencontré beaucoup d’associations solaires : la solidarité m’a paru très créative et fédératricedans une ville si grande et densément peuplé.Notre école était dans les Calanques, c’est à dire éloignée de la ville. J’ai donc rapidement créer des ateliers portatifs, qui me permettaient de créer partout, et surtout dans la rencontre, avec beaucoup de personnes différentes croisées dans les rues, les institutions artistiques, les bars etc.. J’ai fini par ne travailler qu’en collaboration, avec tout ces artistes qui ne savent pas encore qu’ils en sont.