Yoshikazu Goulven Le Maître est né en 1995 à Fukuoka au Japon. Il vit et travaille à Strasbourg. Il développe un travail autour de la récupération et de la réutilisation de matériaux usagés, qu’il sculpte pour donner naissance à un bestiaire aussi étrange que poétique. Il dépeint un écosystème contemporain façonné d’artefacts, sous la forme de représentation du vivant, mais aussi de nature morte. Sa pratique cherche à concilier la dichotomie entre « nature » et « culture », en cherchant l’illusion de vie dans les objets du quotidien et en exprimant leur altérité.
Mes illustrations touchent au monde de l’op-art et du psychédélique sympathisant avec l’univers de la musique.
Je travaille mes lignes de manière numérique, principalement en noir et blanc pour les imprimer ensuite en serigraphie, ou les décliner sur divers supports éditoriaux.
Le Bordel de Em. est un petit « bordel » graphique & coloré avec de l’aquarelle (originaux, reproductions) au style croquis carnet de voyage, croqué sur le vif avec quelques fleurs séchées (ramassées et séchées par mes soins) en passant par des illustrations digitales, des stickers, cartes postales, marque-pages, badges, tote-bag et ateliers d’aquarelle.
Mes différentes pratiques artistiques se nourrissent les unes des autres pour se mélanger et créer de belles images. J’aime retranscrire ou cacher des souvenirs mêlés à mon regard sur les choses banales du quotidien. Les petits trésors de vie.
Diplômée des Gobelins en 2002, et d’un master théorie de l’art en 2006, je poursuis une démarche de photographe d’auteure autour des questions du support de l’image, du corps et du paysage. Lauréate en 2005 des Boutographies de Montpellier, j’ai été remarquée par les curateurs de Fotolegendo et j’ai pu exposer mon travail à Rome en 2006. J’ai également participé à des expositions de groupes à Paris, en 2010 au mois de la photo Off et en 2013 à la Galerie Ricardo Fernandes ainsi qu’à Pékin en 2012. En 2010 paraît le livre, Les techniques alternatives aux éditions du SCEREN présentant mon essai sur le support et l’image. Depuis 2008, je vis à Strasbourg où j’enseigne la photographie à la HEAR. J’ai créé l’association SimAGo pour la promotion de la photographie en 2012 et mon investissement dans les associations locales – La Chambre et Stimultania – permet à des adultes et enfants de tous horizons de découvrir les techniques argentiques pour une préservation du savoir en ce domaine. A strasbourg, j’ai également pu exposer mon travail régulièrement et plus particulièrement en 2018 lors de la carte blanche qui m’est donné pour la Maison Fulgurante de Photographie où j’ai pu commencer à déployer mon travail sous forme d’installation.
Artiste autodidacte ayant côtoyé les bancs d’écoles d’art entre deux lignes, sans jamais s’inscrire dans un enseignement dicté. François Phan phèng dy arpente le sentier de son art à travers ses carnets et ses toiles, esquissant ses rencontres, ses odeurs, ses couleurs, ses lumières, que des multitudes de vies simples animent une aventure humaine.
Crayons, pinceaux, gouge, stylo bic, marc de café jonglent sur bois, table, papiers ou n’importe quel autre support digne d’accueillir son imagination.
Idées loufoques, personnages débridés, formes dérisoires sont les notes que composent son piano bastringue.